ROMÂNIA ŞI VECINĂTATEA U.R.S.S.
ROMANIA AND NEIGHBORHOOD OF SOVIET UNION

Summary/Abstract: M. Eminescu, N. Iorga, Pamfil Şeicaru, trois titans de la presse politique roumaine n'ont pas négligé – sous les angles et à différentes époques - le rôle et la place du facteur russe sur l'orientation générale de la Roumanie dans les relations internationales. Sans aucune exagération, mais leurs affirmations à cet égard ont été et demeurent une inestimable trésor d'entrée conduit à la valeur maximale et les enseignements immortels, qui reviennent souvent moins de nous divertir, mais surtout pour apprendre des lumières et des raisons dans le cas précis que possible. Ainsi, ceux qui sont déjà nommés ou la production de années '20-'40 de XXe siècle (Octavian Goga, G. I. Brătianu, I. Petrovici, Simion Mehedinţi, C. Rădulescu-Motru, Radu R. Rosetti, P. P. Panaitescu, Mircea Eliade, Mircea Vulcănescu, Sabin Manuilă, C. C. Giurescu, Emil Cioran, Petre Ţuţea etc.) ont lancé une boutade célèbre sur la manière «brutale» et si réelle dans le sens que c'est-à 300 ans, pratiquement depuis 1711, lorsque Pierre le Grand atteint le Prut, la malédiction de la position géopolitique des Roumains s'explique par le fait que, à tout stade de leur développement, les Roumains étaient trop à proximité de la Russie et trop loin de Dieu! Et, en effet, surtout à partir de 1812, la Russie a toujours été proche de la politique générale de Iaşi et de Bucarest, en Roumanie, puis, une condition préalable, une condition préalable et un résultat, trop peu ou de prestations, et le e plus souvent un désavantage, pour ne pas dire une obsession et une menace de premier plan, et l'existence de la différence au sein de la Grande Roumanie (1918-1940), qui a terminé avec les notes ultimative fameux de 26-27 juin 1940. L’auteur analyse un document unique récemment découvert dans les archives du «procès» du Cabinet Ion Antonescu en 1946, à savoir une longue lettre (54 pages dactylographiées), envoyé à l’adresse de Pamfil Şeicaru en 27 Octobre 1943 par son collègue, un journaliste aujourd'hui pratiquement inconnu, par son vrai nom I. Joldea Rădulescu.

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