![Научен отзив за международната научна конференция „На терен в културата: автентично, зрелищно, (не)видимо”](/api/image/getissuecoverimage?id=picture_2019_51210.jpg)
Научен отзив за международната научна конференция „На терен в културата: автентично, зрелищно, (не)видимо”
Conference report on the International Science Conference ‘Culture as Fieldwork: Authentic, Spectacular, (In)visible'
More...We kindly inform you that, as long as the subject affiliation of our 300.000+ articles is in progress, you might get unsufficient or no results on your third level or second level search. In this case, please broaden your search criteria.
Conference report on the International Science Conference ‘Culture as Fieldwork: Authentic, Spectacular, (In)visible'
More...
This paper represents a continuation of the previous publication “The Musical Instruments in the Early Vernacular Translations of the Psalms. Collective Research” (Museikon, 3, 2019, p. 67-140), henceforth abbreviated as Musical Instruments… 2019. The study will be continued in the next issue of Museikon (5, 2021), covering more languages and furthering the discussions.
More...
Scientific life, conference report
More...
In the end of September 2021 one of the celebrations of the academic community took place – colleagues and friends congratulated prof. Lilyana Deyanova with the publishing of the anniversary anthology ‘Time and Memory’. Compilers and organizers of the academic celebration are Maya Grekova, Petya Kabakchieva, Momchil Hristov, Milena Yakimova.
More...
En 1629, une ambassade dirigée par l’archimandrite Varlaam est arrivée à la cour du tsar Mikhaïl Féodorovitch Romanov, demandant la permission de passer une commande aux peintres moscovites, afin depeindre deux icônes pour le prince Miron Barnovschi. Les sources documentaires nous renseignent sur la dédicacedes icônes et sur le fait qu’elles appartenaient à la typologie des icônes hagiographiques, avec des portraitsde saints au milieu et des scènes narratives de leur vie sur les bords. Bien qu’achevées et payées intégralementpar le prince moldave, les icônes ne sont jamais parvenues à leur commanditaire. Le patriarche Philarète Nikititchles a retenues à Moscou sous prétexte qu’elles étaient ‘inconvenablement’ peintes. Sept ans plus tard,alors que Varlaam occupait le poste de métropolite de Moldavie, le prince Vasile Lupu envoya une autre ambassadeà la cour de Moscou, pour tenter de les récupérer. Le tsar organisa une enquête, les peintres furent interrogéssur les modèles suivis, mais le résultat resta le même : les icônes avaient été peintes de manière noncanonique et ne pouvaient pas être remises aux messagers moldaves. L’enquête sur cet intéressant ‘échec’ diplomatique fait l’objet de la présente étude. En suivant André Grabar, qui soulevait pour la première fois laquestion du prétendu manque de canonicité de ces icônes, l’article reprend toute la question des causes possiblesdu refus inhabituel des autorités moscovites de les remettre à leurs commanditaires. En corroborant lesinformations documentaires avec l’analyse des sources visuelles disponibles, dans le contexte plus large de lacommande des icônes et de l’évolution du culte de saint Jean le Nouveau à l’époque, l’étude suggère qu’uneraison possible de ce rejet pourrait être la représentation du martyr de Suceava – et ce, non pas parce qu’ils’agissait d’un saint inconnu en Russie à l’époque (cf. A. Grabar); mais surtout à cause de l’utilisation d’uncertain modèle iconographique employé dans l’entourage du métropolitain Anastasie Crimca. Ce modèle étaitsans doute susceptible d’avoir déplu au patriarche Philarète Nikititch. Varlaam connaissait bien ce type dereprésentation et avait probablement donné des instructions précises aux peintres moscovites, qui les ont sansdoute suivies à la lettre. En effet, à la suite de cet épisode, Varlaam enverra également au tsar une hagiographie etune icône de saint Jean le Nouveau, qui semblent avoir dynamisé le culte et les représentations iconographiquesdédiées au martyr de Suceava en Russie à la même époque.
More...
L’étude collective de cette inscription s’inscrit dans lecadre du projet erc Starting Grant graph-east (2021-2026), financé par le programme de recherche et d’innovationHorizon 2020 de l’Union européenne dans le cadrede la convention de subvention n° 948390. Son but est d’étudier les inscriptions et graffitis en alphabet latin de la Méditerranée orientale, de la Grèce à l’Égypte en passantpar la Turquie, la côte syro-palestinienne et Chypre, du VII au XVI siècle.
More...
Articolul aduce în atenția istoricilor de artă veche transilvăneană o serie de desene și acuarele reprezentând picturile murale ale bisericii „Sfântul Nicolae” din Bârsău, realizate în secolul al XIX-lea. Dintre cele 15planșe păstrate încă în registrele Muzeului Maghiar al Arhitecturii și Centrului Documentar pentru Protejarea Monumentelor de la Budapesta, una îi aparține lui Horváth Miklós, restul lui Szinte Gábor – ambii profesori de desen la Școala Superioară Regală Maghiară de Stat din Deva în perioada 1882-1886. Valoarea de neprețuit a acestor desene este efectul direct al degradărilor continue ale picturilor bisericii din Bârsău. Stadiul dezastruos de conservare din ziua de astăzi face ca cercetarea picturilor datate în a doua jumătate a secolului al XVI-lea să fie aproape imposibilă pornind de la realitatea in situ.
More...
Mănăstirea Sfânta Ecaterina de pe Muntele Sinai păstrează un portret al lui Neagoe Basarab și al familiei sale, pictat pe capacul interior al unui scrin din lemn. Imaginea oferă dovezi fizice ale contactelor dintre Țara Românească și Mănăstirea Sinai în timpul lui Neagoe Basarab, a cărui domnie a continuat îndelungata tradiție a patronajului domnilor români asupra locurilor sfinte.
More...
Grégoire Zugravul (‘le Peintre’), connu toute sa vie comme Papathodor, Popovici et Frujinescu, a été l’un des peintres les plus importants de la Valachie à la fin du XVIIIe siècle et l’initiateur du courant d’occidentalisation dans l’art local. Constantin Săndulescu-Verna a découvert dans un carnet de croquis ayant appartenuau peintre que Grégoire est né près de Bucarest, dans le village de Frunzănești, au sein de la famille du prêtrepeintre Tudor, et qu’il a fait son apprentissage en 1766, à la l’âge de 16 ans, auprès d’un certain maître Jean / kirIancu. Ensemble, les deux hommes ont voyagé pendant dix ans sur le territoire de l’Empire des Habsbourg etont signé ensemble l’iconostase du monastère de Lepavina en Croatie, ainsi que celui de l’église de la Nativité de Saint-Jean-Baptiste à Székesfehérvár, en Hongrie. De retour en 1777, Grégoire a commencé une carrière prolifiqueen tant que peintre d’icônes; mais il a également peint les fresques de l’Église de l’Icône (Biserica Icoanei) àBucarest, des enluminures de manuscrits et des peintures à l’huile, y compris la vaste composition historique représentant Nicolas Mavrogheni distribuant des récompenses aux soldats qui avaient participé aux combatscontre les Autrichiens (1789), aujourd’hui dans les collections du Musée National d’Art de Roumanie, à Bucarest. Jusqu’à présent, cependant, l’identité de Maître Jean et la portée européenne de la carrière de Grégoire n’étaient pas connues en Roumanie. On considérait à tort que Jean devait être un peintre local, identifié soit au maître de l’école de peinture de l’évêché de Râmnic, soit à Ivan ‘le Russe’ (Rusul), maître de l’école de peinture du monastère de Căldărușani. Plus récemment, C. Săndulescu-Verna et M. Sabados ont supposé qu’il pouvait être d’origine balkanique, mais sans réussir à repérer son identité précise : peut-être un peintre grec ou macédo-valaque. La présente étude relie pour la première fois les recherches roumaines sur ce sujet à celles menées en Serbie(Aleksandra Kučeković), Bulgarie (Emmanuel Moutafov) et Bosnie-Herzégovine (Ljiljana Ševo). Les documents permettent d’identifier ‘kir Iancu’ avec Jovan Četirević Grabovan, aroumain d’Albanie, auteur de fresques dusanctuaire et de la nef de la cathédrale épiscopale de Roman (Moldavie). La carrière de ce dernier est jalonnéepar les étapes d’un parcours remarquable pour cette époque. Ses voyages relient littéralement l’Occident à l’Europe de l’Est, de la Croatie en Russie à travers Buda et Bucarest, et dessinent une perspective entièrementnouvelle sur les relations qui animaient le milieu culturel des peintres valaques du XVIIIe siècle. Comme Jovan, son élève Grégoire a joué également le rôle d’un ‘véhicule’ exemplaire des transferts culturels entre Occident et Orient, maillon d’un grand réseau commercial et politique développé à l’intersection des trois grands Empires: ottoman, russe et autrichien. Il a influencé de manière décisive l’évolution de l’atelier de peinture du monastèrede Cernica et s’est imposé comme une figure clé de la scène artistique locale ; il a été l’un des premiers peintresà moderniser l’art local. Par-delà les éclaircissements qu’elle apporte sur l’apprentissage de Grégoire Popovici,cette étude permet aussi d’attribuer les icônes de l’iconostase de l’Église Manea Brutaru de Bucarest au peintreJovan Četirević Grabovan, et d’identifier dix nouvelles oeuvres du peintre Grégoire, y compris les fresques del’Église de l’Icône à Bucarest. Elle transcrit sept inscriptions inédites des icônes de cette église et identifie le ssources artistiques du cahier de modèles du peintre et des icônes de l’iconostase de la chapelle dédiée à Saint Lazare au monastère de Cernica dans un exemplaire de la Bible Ectypa ayant appartenu au même Maître Jean.
More...
Articolul prezintă câteva observații asupra a două instituții monahale rusești înființate pentru comemorarea vitejiei și eroismului soldaților și ofițerilor ruși morți în timpul războiului ruso-turc din 1877-1878: Mănăstirea Înălțării Domnului, cu biserica „Sf. Alexandru Nevski”, construite între 1879-1882 pe dealurile Bakadzhik de lângă Yambol, la ordinul celebrului „General Alb” Mihail Skobelev, și Mănăstirea Nașterii Domnului din orașul Shipka, construită (și probabil și sfințită în 1902) la inițiativa mamei generalului, OlgaSkobeleva, de către un comitet director condus de diplomatul și omul de stat rus Nikolai Ignatiev.
More...
L’article présente l’histoire des fouilles archéologiques polonaises à Faras, au Soudan, dans le contexte des changements politiques de la seconde moitié du xxe siècle, à partir des découvertes qui ont eu lieu avant quele professeur Kazimierz Michałowski ne commence les fouilles archéologiques en 1961. Les recherches des archéologues américains (1907-1910), allemands (1907-1908) et britanniques (1911) sont discutées par la suite, demême qu’une documentation iconographique, suivie par les différentes étapes des découvertes de la cathédralede Faras et des peintures murales au cours de quatre campagnes archéologiques polonaises, achevées en 1964, enrelation avec l’activité de Kazimierz Michałowski. La suite concerne l’histoire et la manière dont le professeur Michałowski a annoncé ses découvertes au Soudan, ainsi que les expositions individuelles, voire temporaires, dans les pays européens, surtout au Musée national de Varsovie, et une exposition permanente préparée dans lacapitale de la Pologne en 1972. L’article étudie aussi la manière dont le régime communiste a influencé la présentation des découvertes et comment les Polonais ont souhaité présenter l’art chrétien pendant la répression du Catholicisme dans leur pays, à une époque dominée par la censure de toutes les expositions et publications scientifiques. En conclusion, cette recherche évalue les résultats de l’étude scientifique des monuments fouillés lors des campagnes archéologiques, et propose la vérification (à l’avenir) de la datation des pièces polychromes, de mêmequ’une discussion de l’ensemble du programme iconographique de l’intérieur de la cathédrale de Faras.
More...
The ‘life’ of an object (the date of creation and its ‘adventure’ throughout time) can be revealed through a masterly interplay of historical, conservation, and scientific investigation. This is why a fruitful collaboration between chemists and restorers within the RICONTRANS Project(Visual Culture, Piety and Propaganda: Transfer and Reception of Russian Religious Art in the Balkans and the Eastern Mediterranean (16th-early 20th c.) has been initiated, in order to gain new insights into the phenomenon of the transfer and reception of Russian iconography in Transylvania.
More...
This review aims to bring together two private museums whose theme is largely similar: life in a communist country. The exhibition of the Museum of Memories from Communism in Brașov responded to the shortcomings in Romanian state-owned museums to cover a timeframe from recent history. To put the exhibition into perspective, after I present it and consider its museological features, I briefly bring into discussion the DDR Museum from Berlin. I focus not only on the visible part of the two – that is, the exhibition, but I also go backstage after connecting with those responsible for these two private museological endeavors, in order to discern the collecting undertakings and their role in the wider frame of museums landscape in a former communist country. Finally, after my visiting experience with both exhibitions and an unwilling / unfortunate entanglement with communist practices that are still up and running (the almost-failure of having a form stamped), I reflect on the role of a museum in providing deeper understanding of socio-cultural practices that affect our (not only institutional) lives up to our days.
More...
„M. H. Maxy: from avant-garde to socialism”, opened on the 28th of December 2023 at the Romanian National Museum of Art, uses a chronological line of events to bring up to date the image of Max Herman Maxy (1895 – 1971), seen as a leading artist with a significant role in the Romanian Avant-garde, but also as the first director of the Romanian National Museum of Art. Subsequently, his contribution to the development of the national art scene can’t be denied in art history. Furthermore, the opening was carefully chosen to mark a symbolic anniversary of 145 years since the first Romanian Jew obtained his citizenship, therefore enhancing the role that the Jew community had in the bloom and spread of the Avant-garde in Europe. The exhibition has a tacit dialogue to the main artistic events which celebrate Timișoara as The Cultural Capital of Europe 2023, the retrospectives dedicated to Victor Brauner and Constantin Brâncuși, suggesting the main artistic pillars in the dawn of Modern Romania.
More...