Книги 2012 г.
Selected bibliography in the field of Bulgarian Studies published in the current year
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Selected bibliography in the field of Bulgarian Studies published in the current year
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Defended PhD theses in Bulgaria in the field of linguistics, literature, history, folklore, ethnography and art studies
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Content of the main Bulgarian scientific journals for the current year in linguistics, literature, history, folklore, ethnography, archaeology and art studies.
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The paper presents the topics and contributions in the contemporary study of the culture of Muslims in Bulgaria. It discusses scientific publications with an anthropological focus from the post-1989 period, when the theme about ethnic and religious minorities in Bulgaria became particularly relevant. One of the main topics of research is the state policy towards Bulgarian Muslims in the 20th century, which receives a new interpretation and evaluation. The study of inter-confessional relationships remains one of the leading lines of research in the early 21st century, too. Numerous studies have been published on the various ethno-confessional groups – Bulgarian Turks (Sunni, Alevi), Roma, Tatars, Muslim Bulgarians. The publications analyze elements of their culture, issues of religion and identity. Ordinary people, their culture, their strategies for adaptation in the changing social environment became increasingly an object of study instead of political history. Changes occur also in the approach to research; attention is redirected from highlighting the common elements in the culture of Christians and Muslims to analyzing the specificities, the alternative memories, local culture and identity of Muslims in Bulgaria.
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The article presents the results of an inquiry conducted among historians and non-historians in the framework of an international research project. The purpose of the survey is to examine the attitude of modern Bulgarian society to Russia/Soviet Union/Russian Federation and its role in Bulgarian history. Respondents answered questions related to the more general problem of the role of myths in history in general and those related to Russia in particular; how myths are born; which factors contribute to their public dissemination; which moments in history are most distorted or falsified in textbooks and in the media; who is interested in this; Is it possible to demythologize the Bulgarian-Russian relations. The inquiry showed the deep differences in Bulgarian society towards Russia. The majority of Bulgarians have a strong emotional attitude towards it, regardless of whether they express negative or positive feelings. And this division is manifested in all professions, ages, social groups. The survey gives grounds to conclude that despite the profound changes from the years of transition and the reorientation of Bulgaria to Western institutions, Bulgarian-Russian relations continue to be important for the Bulgarian society.
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La découverte d’une inscription slavonne dans le narthex de l’église du monastère de Râmeţ (comté d’Alba) en 1966, sa relecture avec des moyens techniques spéciaux en 1978 et sa publication officielle en 1985 ont porté à l’attention des historiens le nom du peintre (Mihul du Criș-Blanc), le nom de l’évêque fondateur (arche- vêque Gélase), le roi régnant lorsque la nef de l’église était peinte (Louis d’Anjou) et l’année 1377. Les Ortho- doxes de Transylvanie auraient eu une hiérarchie ecclésiale organisée autour d’un archevêché et une école rou- maine de peinture en pleine affirmation. Toutefois, ces informations résultent incohérentes par rapport au con- texte politique ou ecclésiastique – les Roumains étant fréquemment invites a rejoindre le rite latin – et au con- texte artistique. À ce jour, Mihul demeure une figure singulièreet ses créations n’ont pas encore trouvé de termes de comparaison. La nouvelle lecture de l’inscription proposée dans cette étude part de la constatation que la dernière partie du texte, où se trouvent le nom, la mention du roi et la datation, demeure illisible (même après l’examen aux rayons ultraviolets, comme en témoignent les clichés pris en 1978, conservés dans le dossier de restauration et partiellement publiés en 1985). D’autres images ont été publiées pour soutenir la lecture proposée, en mettant en évidence les détails qui ont conduit à la lecture du nom Lodovic et de l’année 6885 (= 1377). Cependant, le type d’écriture et les traits linguistiques du texte de l’inscription suggèrent que les aspects paléographiques sont spécifiques à l’école d’orthographe fondée à Tarnovo par le patriarche bulgare Euthyme (1375-1393), plus tard diffusés par ses disciples en Serbie, en Moldavie et en Russie. La réforme d’Euthyme ne pouvait pas atteindre la Transylvanie en 1377. La prédisposition du peintre à écrire les mots tels qu’il les con- naissait dans sa propre langue témoigne du fait qu’il a appris le slavon quelque part en Transylvanie, très proba- blement auprès d’un moine serbe. L’inscription et, implicitement, les peintures de Mihul dateraient ainsi de la fin du xve siècle ou des premières décennies du siècle suivant. La comparaison avec l’inscription sculpté sur le socle de l’église de Feleac, datée de 1516, dont le texte contient des parties similaires à l’inscription de Râmeţ, suggère que le roi mentionné par Mihul était en réalité Vladislas II. Il est appelé LASL´U KRAL´ dans l’inscription de Feleac et le nombre de signes graphiques utilisés pour rendre ce nom s’inscrit parfaitement dans l’espace aujourd’hui illisible où le nom du roi a été transcrit dans l’inscription de Râmeţ. En utilisant la même méthode de distribution des signes dans l’espace afférent de l’inscription de Râmeţ, la période dans laquelle elle pourrait être peinte peut être réduite à l’intervalle 7011-7024 (= 1503-1516). Compte tenu du conflit entre Jean, évêque de Mun- kács, et Hilarion et Gélase, hégoumènes du monastère de Peri, il est fort possible que l’hégoumène Gélase ait été élevé au rang d’archevêque de Transylvanie. Un acte royal de 1494 semble d’ailleurs le suggérer. La résidence était censée se trouver à Feleac, mais il s’avère qu’elle aurait pu fonctionner en parallèle avec le diocèse de Feleac, sans nécessairement être unie à Rome. La possibilité d’installer Gélase à Râmeţ offre un point d’appui pour l’anti- quité de l’évêché de Geoagiu de Sus, évoqué dans l’acte de nomination de l’évêque Christophore en 1557, le mo- nastère de Râmeţ étant en fait la véritable (ou du moins la première) résidence de l’évêché ayant juridiction dans les parties méridionales de la Transylvanie. Un document de 1622 le désigne, en effet, comme « monastère de Geoa- giu (situé) à la limite du domaine Geoagiu (de Sus) » (Giogi klastrom s ez Giogi hatarban vagion). Un archevêque arrivé du nord, d’un espace familier avec l’art des Ruthènes, peut également expliquer le type de Deisis avec ar- changes et saints militaires représenté sur le mur oriental du narthex de Râmeţ. Le fait de peindre cette scène au début du XVIe siècle pose à nouveau le problème de la datation de la première couche de peinture, conservée dans la niche de la Proscomidie et à la jonction de l’iconostase avec le mur nord de la nef, pour laquelle la présente étude propose l’année création du monde 6895 (= 1386-1387). L’inscription en roumain, sculptée dans la pierre et placée au XVIIIe siècle à l’extérieur, sur le côté nord, au-dessus de l’entrée propose d’ailleurs cette date. La mention du nom du roi Matthias (Matiiaș crai) dans la même inscription peut fournir la limite inférieure d’une troisième étape de décoration de l’église, sa limite supérieure étant le milieu du XVIe siècle, étape où la nef, l’iconostase, et peut-être une peinture murale extérieure, furent repeintes. La dernière étape importante est liée au nom l’évêque Inocenţiu Micu-Klein, à l’initiative duquel l’autel a été repeint en 1741
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Le manuscrit conservé à la Bibliothèque de l’Académie Roumaine de Bucarest sous la cote Ms. rom. 1790 n’est pas comme les autres. La page du titre l’indique elle-même : on a affaire à un Sluzhebnik contenant les li- turgies des saints Jean Chrysostome et Basile le Grand, y compris quelques « autres offices d’hiérarques ». Com- mandité par le métropolite Ștefan de Hongrovalachie († 1668), achevé avec sa bénédiction à une date qui reste encore difficile à préciser, cet Ἀρχιερατικόν, destiné à l’usage exclusif des hauts prélats, est décoré de nombreuses miniatures et contient des textes en trois langues : les textes liturgiques sont en slavon ; les ecphonèses, c’est-à- dire les parties finales des ecténies à lire à voix haute, sont en grec, mais en caractères cyrilliques et souvent en transcription phonétique ; alors que la plupart des indications de régie à l’attention de l’officiant et presque tout le « Règlement pour l’ordination du métropolite et de l’évêque » sont en roumain. En partant du témoignage d’un voyageur russe en Moldavie et en Valachie, de l’Ekténie pour les défunts du Ms. rom. 1790 et du « dossier » du Synode de Târgovişte (1659), l’auteur a essayé de reconstituer le climat religieux de l’époque et de formuler une explication quant à l’inhabituelle initiative liturgique multilingue du métropolite de Valachie.
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La recherche menée sur les collections de la Bibliothèque Metropolitaine de Bucarest a mis en exergue un certain nombre de volumes qui présentent un intérêt scientifique particulier en vertu des notices transcrites dans leurs pages. Il s’agit de livres ayant appartenu à des notables du XVIIe-XVIIIe siècles (prince Constantin Brancovan, métropolites Sava Brancovici et Benjamin Costachi, ou l’imprimeur Georges Radovici), autant d’écrits roumains anciens imprimés à Târgoviște et Bucarest, que de textes étrangers ramenés de Venise ou de Lviv.
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Man is often told that life begins with birth. Hindu tradition is one of those examples that highlight the fact that life begins much earlier, with early stages of pregnancy. We shall not adopt a position from a medical or ethical point of view, but will emphasize this claim judging by the care and effort put into the well-being and good health of foetus and expectant mother by members of this religious tradition from ancient times. Archaic Hindu society was very strongly under the spell of the supernatural and magical, which surfaces in many sacred texts. It is interesting to notice and understand how the supernatural, religious and social intertwine and bring order into the lives of its people.The present paper focuses on pre-natal rites of passage as having an ordering quality in man’s life, mentioning key examples from sacred texts related to cultural and religious details that are the backbone of Hindu tradition. It is a shy attempt to bring to light features in the thought process of the ancient Hindu society in order to better relate and comprehend the treasures of its rich past.
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Articles and studies on medieval subjects featured prominently in the pages of Études balkaniques between 2014 and 2023. Conventionally they are divided into two larger groups, according to their focus on issues related to Byzantine and Bulgarian history. This overview begins with an outline of the studies relevant to the development of medieval Bulgaria. This category comprises the works of medievalists such as Vassilka Tăpkova-Zaїmova, Penka Danova, Sashka Georgieva, etc. Elena Kostova’s article on the possessions of the Athonite monasteries in the present-day Bulgarian town of Melnik also belongs to this set of themes as it throws a natural bridge to the extensive thematic range of Byzantine studies. Among the examined studies in this field are papers dedicated to the graffiti in the Constantinople Cathedral of Hagia Sophia, Byzantium’s ties to Southern Italy and Egypt, silk production, the empire’s political relations with its neighbours such as the community of the Cumans and other themes from the history of what came to be known as the “Byzantine cultural circle”, whose geographical reach extended up to the Caucasus and Russia. The overview ends with a discussion of two articles by Theodor Dimitrov, which examine the plague epidemics in Byzantium.
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The text summarizes a corpus of articles in the field of Balkan Cultural Studies published in the journal Études balkaniques during the period 2014 – 2023. In view of the plethora of topics and methodological approaches, the review is structured in three main categories covering the following areas: Literature and Cultural Relations, Theatre and Cinema, Visual Culture. The text outlines the general tendencies and contributions observed in the above-mentioned publications.
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This article is merely intended to summarize the four principal viewpoints of the systems of Classical Hindu thought on the supreme scriptures of Brahminical Hinduism, i.e., the Vedas. It does not give nor delve into the long-winded arguments advanced by the schoolmen of each of these systems that seek to justify their positions on their doctrine of scripture and its associated and ancillary issues
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The present paper follows the journey of the Romanian verb “a bate” (to beat, to hurt, to fight etc.) through the depths of language, uncovering its many uses. Bridging cultural and linguistic distances, it also explores the contextual requirements and changes that happen in Hindi when wanting to obtain the same meanings as those conveyed by the Romanian verb. In addition, it reflects on how a social media post that starts out as a topic for ridicule may become a source for semantic analyses.
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Rabindranath Tagore’s dramatic techniques employ a rich tapestry of symbolic language, where imagery serves as a vehicle for both narrative progression and the expression of complex social critiques. Set against the backdrop of rigid caste hierarchies prevalent in society, the play presents the transformative journey of Prakriti, an untouchable woman who confronts the deeply ingrained social prejudices of her time. Through its poetic language and richly layered imagery, Chandalika goes beyond a mere narrative of social critique to become a profound meditation on human dignity, identity, and freedom. Through a detailed analysis of these imagistic elements, this study highlights how Tagore’s visual language not only enriches the dramatic experience but also invites a deeper understanding of the socio-cultural issues addressed in the play. The paper argues that Chandalika serves as a powerful example of how metaphors of liberation, when intertwined with visual symbolism, can transcend the constraints of conventional drama to deliver a potent message of human dignity and self-worth.
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Calcutta (Kolkata) is usually considered the cultural capital of India. The extraordinary cultural effervescence of the city, the numerous descriptions of the metropolis in the literary writings, memoirs or films place Calcutta among the most inspirational cities in the world. I have visited Calcutta many times and I am always impressed by the city’s ability to reassert itself, and to give a voice to all its residents. During festivals, the city is like a fairytale; it vibrates with people’s lives and is part of the festivities. But during the rest of the year, Calcutta charms visitors and takes over their lives, making them return again and again. This is how I see, experience, love and read the city of joy, beyond the words in which it is often described.
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This essay explores the interactions between customary law and state governance, revealing the complex relationships among power, identity, and law in contemporary India. It highlights the evolving nature of customs and the challenges faced by both dominant and marginalized communities. The analysis focuses on the Jat community's demand for the inclusion of sagotra marriage prohibitions in state law, illustrating how this demand exemplifies formal legal pluralism that reinforces their dominance in local politics. In contrast to marginalized groups seeking recognition of their norms, Khap Panchayats work to uphold traditional authority amid changing social dynamics.
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