Eremiţi şi schimonahi în Moldova medievală. Observaţii cu privire la receptarea canoanelor
Ermites etmoines-ascètesen Moldavie médiévale. Remarques sur la réceptiondes chanoines

Summary/Abstract: Comme nous le savons, beaucoup de lois byzantines ont été repris, avant la chute de Constantinople, par les peuples orthodoxes des Balkans, y compris les Roumains. Même si certains influences byzantines sont arrivés en Moldavie ou Wallachie par intermédiaires (la Serbie, par exemple), cela importe moins dans le cadre de cette étude, qui met l’accent sur certains aspects du droit canoniqueen vigueurpour la Moldavie du Moyen-Âge. De cette manière, sont analysés ici plusieurs situations attestée par les sources documentaires, mais associés, en permanence, à chanoines du droit ecclésiastique. Ainsi, il est fait référence, dans une premier partie, à la position du moines-ascètes (ieroschimonahi) dans les Pays Roumains, à partir d’un très important document, datée à 25 août1443. Malheureusement, autour des moines qui ont choisi la plus haute étape du monachisme (Schima Mare) ont été construits, au cours des temps, les hypothèses historiographiques sans valeur (il faut retenir ici le cas d’higoumène Ioasaf, le premier archimandrite de Poutna, analysé, et lui, dans ce texte, avec le métropolites Gheorghe, qui a devenu David, Teoctist II, Iacov Putneanul etc). L’autre direction de recherche se concerneaux ermites (anachorètes) certifiés documentaire dans la Moldavie médiévale. Même si, du pointde vue dessources, leur nombre est réduit, la valeur réelle de ce chiffredoit avoir êtreécrasante, surtout si nous relions à le „temps liturgique”, quia marqué l’époque. Parmi des cas les plus connus sont Daniel l’Ermite, Simion de Pângăraţi, le moine Toader, „habitant du sauvage” (attesté en 1578), dont la famille est, avec une grande probabilité, identifiée dans ce texte.

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