Cultura morţii: „consumismul”, excesul şi dependenţa; poluarea şi influenţele ei asupra spiritualităţii
The Death Culture: ‘Consumerism’, Excess and Addiction; Pollution and its Influence on Spirituality
Author(s): Andrei-Claudiu HrişmanSubject(s): Christian Theology and Religion
Published by: Studia Universitatis Babes-Bolyai
Summary/Abstract: Le consommisme, l’excès et la dépendance; la pollution et ses influences sur la spiritualité. La parution de l’expression „société de consommation” remonte au début du XX-ème siècle, aux années ’20. Elle est devenue populaire en ’50-’70 et mise en pratique, implémentée, pourrait-on dire, à l’aide des grandes magasins et de la publicité qui ont „promu la consommation comme un art de vivre et un emblème du bonheur moderne”, car, à mon avis, les magasins sont devenus des palais, des vraies temples. La dégradation continue et irrésponsable de la biosphère, qu’elle nous menace ou non d’un cataclysme futur, est une conséquence directe de la course infinie de la consommation déraisonnable et de la création de la jungle capitaliste qui, n’ayant pas un système social fondé sur la moralité et même pas sur des citoyens honnêtes, qui puissent assumer une bonne éducation et vivre en equilibre et harmonie, avait fait de la Terre une grande scène ou ne l’on joue pas une pièce de théâtre, mais ou l’on joue notre propre vie et la vie de nos enfants et de ceux qui vont après nous. Nous sommes obligés, et non seulement en raison du nom de chrétiens, comme nous nous appelons, à refaire la société postmoderne en vue de rammener aux contemporaines le paradis établi par Jésus, chose qui n’est pas possible qu’à l’aide de l’illumination de l’Esprit Saint. Nous pourrions avoir une vie spirituelle qui puisse dépasser phase des lèvres, des mots sans actes, seulement en étant modérés et menant une vie equilibrée, dans l’esprit et en tenant compte de l’évolution, de la progression et des découvertes de la société. Les effets de la pollution sont ressentis aussi au niveau de notre spiritualité, et c’est pourquoi qu’il faut nous-mêmes entretenir une lutte contre nous mêmes, non pour nous détruire, mais pour nous sauver, pour ne plus vivre en ignorance et fausse spiritualité. Il ne faut pas nous isoler dans le désert ou fuir le monde civilisé pour résister devant ces effets nuissibles, mais il faut choisir une vie vraiment spirituelle, non seulement écologique, dans laquelle nous puissions comprendre que nous ne sommes pas capables de changer le monde, du mois pas tout à fait seuls, mais un seul oeuvre apparemment insignifiant peut participer à la bonne administration de la création divine. Ce n’est que la tranformation de la mentalité et de l’attitude personnelle, individuelle qui puisse transformer la mentalité colective et qui puisse nous aider à vivre dans un monde plus propre, plus pur, matériel et spirituel à la fois. Nous tenons dans nos bras l’avenir de la Terre!.
Journal: Studia Universitatis Babes Bolyai - Theologia Catholica
- Issue Year: 53/2008
- Issue No: 2
- Page Count: 14
- Language: Romanian