НЕКА РАЗМАТРАЊА О ДРУШТВЕНОМ ПОЛОЖАЈУ ЖЕНЕ ОД АНТИЧКОГ ДО БУРЖОАСКОГ ДРУШТВА
SOME CONSIDERATIONS ON THE SOCIAL STATUS OF WOMEN FROM THE ANCIENT SOCIETY TO THE BOURGEOIS SOCIETY

Summary/Abstract: Toute l'histoire connue de la civilisation est marquée par l'inégalité en droits des sexes, et la subordination de la femme à l'homme. Qouque les femmes dans l'historié ne sont pas séparées comme classe à part, elles étaient toujours comme sexe dans l'ombre du sexe masculin excelues de la production sociale et de l'activité sociale en général, et rattachées aux cadres de la famille. Les systèmes sociaux d'exploitation, basés sur la propriété privée des moyens de production, avec la famille monogame clasique attaché à cette propriété privée, se distinguent non seulement par l'antagonisme entre les classes sociales, mais aussi ente les sexes. Dans le cadre de ces systèmes sociaux la femme était pendant des siècles entièrement exclue du droit public, et dans le droit privé, plus ou moins, subord-onnée à l'homme. Sur les causes sociales fondamentales de la subordination de la femme a l'homme oajt attiré l'attention les classigues du marxisme, et en particu¬lier elles ont été accentuées, élaborées, et la vision de leurs commencements a été formulée par Engels dans son oeuvre « L'oigme de la famille, de la propriété privée et de l'Etat ».A la dittérence des systèmes sociaux précédents, le capitalisme introduit comme caractéristique importante du vingtième siècle, la démocratie formelle, l'égalité formelle devant la loi, qui établit le terrain pour la lutite de classes. Mais le yapitalisme n'établit pas en même temp l'égalité juridique des sexes, qui do¬nnerait la possibilité de pénétrer à fond les pouvoirs spécifiques de l'hommer sur le femme dans le cadre de la famille monogame classique. Cependant en tendnt vers un plus grand profit et en brisant la plupart des rapports hérités du passé le capitalisme supprime la laison séculaire de la femme aux yadres de la famille, et introduit une masse de femmes, du reste seulement prolétariennes, dans la production sociale, en les mettant dans l'impossibilités de s'occuper en même temps de la famille. Ce fait conditionne ensuite la liadon des prolétaires des deux sexes contre l'exploiteur commun et la formation de la conscience selon laquelle ce n'est que par la destruction des rapports exploiteurs de la production qu'on peut abolir l'exploitation en géenéral, par conséquent de même l'exploitation de la fe¬mme de la part de l'home.

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