Author(s): Agata POPESCU / Language(s): Romanian
Issue: 28/2016
Le bonheur, en tout cas, ne se résume pas à une norme de droit, mais ni en dehors de ca il n’en est pas possible. Le bonheur est, en dernière instance, un produit de la liberté de la pensée et de la limitation générée par sentiment, la première dimension étant celle de l’universalité de la réflexion, de l’idéal et de la cognition, le deuxième, celle de la centration sur le directement, mais aussi sur le sensible, sur la sensibilité, sur le bonheur, le bonheur étant, comme le bien, un concept, une catégorie philosophique, éthique et esthétique et non seulement un effet sensorial. Si la liberté, dans la société humaine et dans l’Univers entier, est, comme le disait Platon et Hegel, une nécessite comprise, la sensibilité est, en même temps, ce qu’on appelle sentir et connaître en sensible – donc directement et intégralement du monde, c’est-à-dire ce qu’on se voit et ce qu’on se sent –, et leurs intersection génère toujours un infini sensible et rationnel. Sus cette intersection, om peut définir, tant qu’on le peut définir, le bonheur aussi. La norme de droit a, en ce cas, la fonction de assurer la substance des limites de la liberté extérieure conditionné et de la non-limitation intérieur du fait générateur de ce effet qui, dans certaines conditions, peut être nomme le bonheur.
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