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The text contains a review made within the Public Seminar of the Department of „Radio and Television“, held on November 1, 2022, where Raina Konstantinova, Chair of the Public Council of the Bulgarian National Radio, and Prof. Snezhana Popova presented the new book of Assoc. Prof. D.S. Vyara Angelova „The Socialist Bulgarian Radio (1944-1989)“ (University Press „St. Kliment Ohridski“, 2022). We publish both speeches given at the premiere of the book.
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The text offers a review of Prof. Miglena Nikolchina's monumental study "God with Machine: Subtracting the Human", dedicated to fundamental theoretical conceptualizations around anthropological issues. The review dwells in particular on the central conceptual paradox outlined in Prof. Nikolchina's book, namely the double determination of man as "a being who wants to be human" and “being who does not want to be human”
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Après avoir reconfirmé la datation de Camille Enlart (vers 1421 ou 1421-1424) et identifié le comman-ditaire (l’évêque de Limassol Barthélemy Gui) dans une inscription fragmentaire, la présente étude explore: d’une part, les modèles des inscriptions en langue vernaculaire française de Pyrga (Chypre); d’autre part, la lo-gique du programme iconographique et le contexte culturel que sous-tend cette dernière. Dans la première par-tie, l’analyse des inscriptions de la chapelle prouve que le concepteur du décor peint a suivi un modèle manuscrit, sans doute un psautier avec un grand cycle d’enluminures. L’étude évoque trois termes de comparaison célè-bres: le Psautier de la reine Ingeburge (Chantilly, Bibliothèque du Musée Condé, 9 – tournant du xiiie siècle), le psautier de l’évêque Henri de Blois (Londres, British Library, Cotton Nero C iv – vers 1160) et le livre d’images de Marie de Rethel (Paris, Bibliothèque nationale de France, n. acq. fr. 16251 – vers 1285). Dans la source manuscrite reconstituée, les inscriptions en ancien français étaient probablement transcrites en tant que tituli, d’après une typologie tripartite: noms de fêtes religieuses, groupes nominaux ayant une fonction analogue et légendes sous forme d’énoncés introduits par l’adverbe coument. La langue des inscriptions de Pyrga, un français d’Outremer, présente les traits particuliers des scriptae chypriotes de la fin du Moyen Âge. De plus, on constate que la déco-ration de la chapelle inscrit le monument de Pyrga dans la catégorie des chapelles royales de l’Europe occidentale (xive et xve siècles). Le transfert du codex à la paroi concerne non seulement les images, mais également les textes qui accompagnent ces dernières. L’auteur s’intéresse ensuite à la disposition symétrique de la décoration dans les deux travées de la chapelle, ainsi qu’à la manière dont cette disposition accentue l’Uniatisme catholique-orthodoxe. La logique dos-à-dos de la décoration émule celle des icônes à double face – termes de comparaison directs pour la chapelle – notamment leur choix d’apparier deux scènes : la Crucifixion / la Mère de Dieu. Le con-cepteur du décor peint souhaitait évoquer l’osmose de deux églises: une église latine, orientée vers l’Est; la sug-gestion d’une église byzantine, orientée vers l’Ouest. Cela explique le choix particulier de la décoration des voûtes (christologique pour la travée Est et mariale pour la travée Ouest), la double représentation de l’An-nonciation (pour marquer l’orientation des deux églises) et le choix d’une composition de type pala d’altare pour la paroi Est, tandis que la paroi Ouest imite la décoration des templons byzantins. L’osmose des deux églises est indiquée de manière encore plus claire par le choix de représenter les martyriums des saints Étienne (signifiant l’Orient) et Laurent (signifiant l’Occident) au-dessus des entrées latérales. Ce serait une allusion à l’osmose des corps de ces saints dans la Coniunctio corporum sanctorum Stephani et Laurentii (bhl 4784b). Après une réévaluation du texte fragmentaire (aujourd’hui perdu) de l’inscription dédicatoire, il est évident que la dédicace proprement dite concernait l’Assomption de la Vierge. Qui plus est, l’osmose Est-Ouest était de nou-veau indiquée par la représentation dans un même cadre de la Dormition de la Mère de Dieu (sujet à connotation byzantine) et du Couronnement de la Vierge (thème occidental par excellence). Les textes littéraires des xive et xve siècles confirment la fixation chypriote de l’appariement de la Mère de Dieu avec la Passion du Christ, de même que plusieurs autres choix de la décoration de Pyrga. La signification de la décoration devait être multiple, en rapport avec la triple utilité du bâtiment: chapelle funéraire (pour Barthélemy Gui), chapelle royale (pour le couple Janus de Lusignan-Charlotte de Bourbon) et point d’entrée au monastère de Stavrovouni, qui hébergeait des reliques de la Sainte Croix.
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Dans les églises de rite byzantin, les ‘portes royales’ de l’iconostase se distinguent par leur richesse, leur étrangeté et leurs mystérieux ornements. Malgré le rôle décoratif essentiel qu’ils jouent, la finalité de ces traits caractéristiques demeure souvent obscure. Le manque d’explication cohérente devient ainsi l’un des défis scientifiques les plus stimulants à relever, afin d’en clarifier la signification. Étant donné que les recherches en ce sens sont encore absentes du panorama critique de l’histoire de l’art post-byzantin, mettre l’accent, dans une analyse du symbolisme des ‘portes royales’, sur une province lointaine telle que le Maramureș pourrait surprendre. La présente étude se propose toutefois d’interpréter la décoration des ‘portes royales’ au sein du cadre strict de l’espace rituel et culturel byzantin dans le territoire des Carpates du Nord à l’époque prémoderne, en s’appuyant, pour ce faire, sur des écrits religieux contemporains des objets étudiés. Puisque ces écrits, à travers les traductions en langue vernaculaire, ont influencé la culture populaire de la région, la décoration des ‘portes royales’ doit être interprétée en clé mariale. Aussi, tous les traits caractéristiques, les détails et les significations de ces portes illustrent la porte du ciel, attribut caractéristique de la Mère de Dieu dès l’incarnation du Christ. Il semblerait donc que le thème central en soit l’Annonciation. Ainsi, l’étude se propose de montrer la manière dont ce thème a été amplifié et diversifié sous forme de cycle iconographique composé de quatre parties, que l’on peut observer à la fois en peinture et en sculpture. Les sculptures témoignent d’un emploi particulier du langage métaphorique, exprimé d’une manière allégorique et emblématique, à travers laquelle les ‘portes royales’ sont transformées en pièces centrales et complexes de l’iconostase. Plusieurs prophéties concernant la Venue du Sauveur grâce à une vierge ont été choisies et représentées dans la sculpture des ‘portes royales’ de la région des Carpates du Nord, qui devient le centre d’un développement iconographique particulier. Sans doute, les disputes religieuses ont-elles façonné la culture spirituelle des croyants orthodoxes des Carpates, à l’époque turbulente de la pré-modernité. À cet égard, la rhétorique du langage artistique visuel se pose en miroir des témoignages apportés par les documents, les inscriptions et les collections folkloriques des communautés de rite byzantin. Situé à un carrefour de civilisations, l’art sacré de Maramureș contribue à une meilleure compréhension de la signification et de l’évolution de ces ‘portes royales’ à l’époque post-byzantine; mais il nourrit également l’étude de l’histoire de l’art européen dans son ensemble.
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This paper represents a continuation of previous publications: “The Musical Instruments in the Early Vernacular Translations of the Psalms. Collective Research” (Museikon, 3, 2019, p. 67-140—hereafter abbreviated as Musical Instruments 2019); “The Musical Instruments in the Early Vernacular Translations of the Psalms (2): Collective Research” (Museikon, 4, 2020, p. 257-302—hereafter ab-breviated as Musical Instruments 2020); and “The Musical Instruments in the Early Vernacular Trans-lations of the Psalms (4): Collective Research” (Museikon, 5, 2019, p. 91-107—hereafter abbreviated as Musical Instruments 2021). The current paper represents the finalisation of this group of articles.
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Book Review: Disenchantment, Re-enchantment and Folklore Genres. Ed. by Nemanja Radulović, Smiljana Đorđević Belić. Belgrade: Institute for Literature and Arts, 2021. 286 pp. ISBN 978-86-7095-286-7
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Pentru a înțelege mai bine relațiile intertextuale dintre psaltirile franceze medievale, întoarcerea la o sursă fundamentală precum Psaltirea de la Oxford (manuscrisul Oxford, Biblioteca Bodleiană, Douce 320) este esențială. Astfel, unul dintre scopurile acestui articol este cel de a pune bazele unui studiu al modificărilor de natură textuală reprezentate de numeroase ștersături care reflectă procesul de redactare și spun povestea acestui manuscris. Deoarece studiul este de amploare, a fost necesară segmentarea lui în mai multe publicații. În această primă etapă, după o introducere care analizează relațiile manuscrisului Douce 320 cu alte manuscrise din familia sa (de exemplu, Londra, British Library, Arundel MS 230), autorii discută ștersăturile legate de fluctuația vocalelor și diftongilor în ortografia anumitor cuvinte. Analiza tratamentului dentalelor finale ocupă apoi secțiuni referitoare la anumite forme verbale ale modurilor indicativ, conjunctiv și participiu. Acestea sunt completate de studii privind ștergerea unui -e- interconsonantic în formele de viitor și oscilarea între -r- și dublu -rr- în formele de viitor ale verbului estre. În cele ce urmează, ștersăturile și/sau corecturile legate de dentale permit de asemenea să fie abordată problema declinării, nu numai în cazul participiilor, ci și a mai multor substantive și adjective. Cercetarea se concentrează apoi pe studii de caz: ștergerea unui –n final în enfer(n), iur(n) și car(n); ezitările scribului legate de ortografia conjuncției car; înlocuirea frecventă a lui q cu c în cuvântul quer/cuer; ezitarea între folosirea conjuncției mais sau a conjuncției acertes; precum și multiplele opțiuni de a traduce sufixul latin –tio. O paranteză deschisă cu privire la anumite adăugiri și/sau corecturi sugerează posibilitatea ca manuscrisul Douce 320 să nu fie o traducere autografă a Psaltirii St. Albans (păstrată la Hildesheim, Dombibliothek, St. Godehard 1). Scribul ar fi folosit mai degrabă o sursă latină cu o glosă vernaculară interliniară. Această deducție pare să fie confirmată și de utilizarea unei liniuțe de unire, pe care copistul o folosește pentru a compensa erori probabile de transcriere. Ipoteza aceasta este susținută mai ales de cercetarea asupra câtorva „ștersături lungi”. Ele par a privi unități de transcriere a căror modificare este legată de structura și interconectarea textuală cu o sursă care prezintă atât un text latin, cât și o glosă interliniară. În încheierea acestei părți, după ce au prezentat, spre comparație, exemple preluate din Psaltirea Winchester și Psaltirea Arundel, autorii propun reconstituirea unui segment de text care ar putea fi mai aproape de sursa manuscrisului Douce 320. Articolul se încheie cu o comparație cu precedentele în limba engleză veche și cu o transcriere a fragmentelor de la Maidstone, Centrul și Biblioteca de Istorie Kent, Fa/Z1 (fragmentul Faversham i). Continuarea cercetării este prevăzută pentru următorul număr al revistei Museikon.
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