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The time from the Great Sunday (the 50th day from Easter) till the Departure of the Rusalii (till the summer solstice) captures many calendared celebrations that are celebrated for centuries. These celebrations take place (are practiced) in order to overcome time crisis generated by the beginning of the second part of the year. It is the time when the Rusalii are active and the whole class of female goddesses, protectors of water, flora, beauty, song and dance. In order to protect from Rusalli the rural communities decorate all the housings with green lime tree branches (mostly at the south), and inside the house they spread different odor herbs. In thus the nature, via its vegetal representatives, includes also the cultural space, dominating it during eight days usually, or one day as an early influence. It is a cosmogonic period of reorganization of nature, when the agrarian, forester, aquatic activity is prohibited for people. The irreverence of these prohibitions, according to the popular beliefs, can result in punishment of the people by the Rusalii by inducing psychomotor affectations. The women are the once that negotiate with the Rusalii. Women are those that water and alimentary alms, mention the dead many a lot during this time, celebrate the Rusalii organizing fests in the open air in fields or forests.A distinct ritual of this space is the clearance of the wells and springs, done by men only, the men of the village, on the Rusalii celebration. This action means the emptying of water from the wells, cleaning and accurate care of the rigens. The day is ended with a big fest of the families (communion) that consume the water from that source close to the well or spring.
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Notre étude présente la partie d’une recherche sur les rites de la magie thérapeutique de Moldavie. Les protagonistes de l’ethnomédecine humaine sont les vieilles femmes expertes du village. Celles-ci doivent activer les ressorts intimes, ésotériques, pour restaurer l’état initial de santé.Les hommes appelés « nălbari » savaient comment guérir les animaux à l’aide d’une grande diversité de plantes et d’anciennes pratiques thérapeutiques.
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The village of Tarlişua, in Transylvania, is the birthplace of one of Romania’s most important novelists, Liviu Rebreanu, who was born there on the 27th of November 1885. Shortly afterwards, Rebreanu’s parents moved to the village of Maieru, in the Bistriţa-Năsăud district. It was in Maieru and the surrounding villages that Rebreanu first came into contact with the folk customs and oral traditions of the Năsăud region, which he used in his masterpiece novel Ion. Rebreanu died without ever returning to the village where he had been born. Had he visited Tarlisua, he would surely have been captivated by the beauty of the place and the richness of the traditions preserved across generations of villagers living at the foot of the Tibles Mountains, and he could have used, in his writings, the oral culture of his native village. Today, folk traditions in Tarlisua are dying, a phenomenon which can be noticed in a large number of Romanian villages across the country. The older generation struggles to preserve them, but the young generation, fascinated by the modern way of life, considers them outdated and neglects them. For example, weddings in Tarlisua are now very different from what they used to be: the bride and the bridegroom no longer wear the traditional costumes, and the ceremony has been greatly simplified and has been contaminated by kitsch. This phenomenon, which started in the early nineties, is growing rapidly in parallel with the spread of a secular way of life. The present study documents the traditional wedding ritual in Tarlisua as it appears in descriptions by performers who used to take part with enthusiasm and joy in this important event in the life of a Romanian village. The paper presents the stages of the ceremony and emphasizes local traditions and practices, which may differ from those of other villages. The study ends with a number of ritual wishes and folk verses from Tarlisua.
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Cet étude ne veut pas de faire une analise du feu de point de vue de théorie solstitiale (Wilhelm Mannhardt), pas de celle purificatrice. Tous les deux tiennent compte de quelques symboles et semnifications du feu. Nous avons esseyer de évidentier son caractèr dual qui peut se manifester comme une véritable coincidentia oppositorum.Notre point de départ c’est la théorie de G. Frazer qui afirme que le „feu vivant” peut être a l’origine de tout sort feu ritualique. En utilizant une bibliographie étnographique clasique nous avons ésseye de démontrer la manifestation de feu comme une totalité contradictoire et paradoxale.Aujurd’hui, l’ambivalence du feu, peut fonctioner même dans des situation bizarres. Cete chose peut cacher une richesse des sens et symboles. Elles ne meurt pas, comme on pourrait croire mais, par contre, elle continueront de ne fréqventer avec régularite au niveau de subconscient. L’homme moderne, parmi les autres, vive aujud’hui le séntiment de domination de la nature et du feu. C’est seulement une illusion. Tous cela continueront de ne controler dans une manière trés subtile. Mais cet fait représente le mistere et la magie de leur fonctionemment dans le temps et dans l’histoire.
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L’oiseau motif décoratif sur le tombeau de Maria de Mangop de Putna, 1477, nous rappelle les traditions du peuple roumain, l’oiseau étant le messager de l’esprit.La littérature de spécialité mentionne „l’oiseau esprit”, auteurs: Simion Florea Marian, Tache Papahagi, Gh. Pavelescu, Romulus Vulcănescu. Mircea Eliade soutient que ”Le peuple roumain a une préhistoire et une proto-historie égales en valeur à celles de n’importe quelle nation européenne importante et il a aussi un folklore incontestablement supérieur”. Mihai Băcescu apprécie: „Nous pouvons être fiers car nous situous entre les peuples ayant le plus riche et le plus concret ornitofolklore”. La conception sur l’esprit oiseau a été attesté dans les religions du Proche Orient archaïche. En Mesopotamie les morts sont représenté sous forme d’oiseaux. Marius Drăgoi dans ses études se rapportant aux rituels funéraires à Târlişua – Bistriţa Năsăud, appelle le hibou „l’oiseau de la mort”.La colombe, symbole de l’âme et du Sant Esprit dans la religion chrétienne est mentionnée dans la Bible de 1688, éditions, 1995.Dans le jeu des „Căluşari” (chevaliers) l’Ephigie du Dieu „Căluş” represente l’organe regénérateur de la déesse oiseau, d’origine néolithique, rappelant l’oiseau des marais. Le substitut néolithique de la déesse de la régénération, représenté par un oiseau des marais, est devenu un oiseau domestique, notamment la poule, présent dans les cérémonies liées au cycle de la vie: naissance, noces, enterrement et au cycle du calandrier. L’attestation la plus ancienne concernant la croyance dans l’esprit-oiseau peut être observée dans le mythe du phoenix qui représente l’esprit chez les Egyptiens. Le phénix est le doublet sublimé du vautour qui se trouve au sommet de l’arbre cosmique. Dans l’art thraco-gétique, le vautour est représenté sur le vase céramique de Agighiol et de „Porţile de Fier”, datant du IV-e siècle av.f. Chr. Le vautour bicéphal est un symbole de la „jeunesee sans vieillesse et de la vie immortelle”. Le vautour bicéphal ne vieillit jamais parce qu’il „a volé la croix de la fontaine de jurdain et, quand il a vingt ans, il y va il y prend un bain il s’y baigne et il en rajeunit”. L’image du bain purificateur, capable de restituer la puissance et la jeunesse est largement répandue dans toute l’aire indo-européenne. Parce qu’il jouit de la vie éternelle et qu’il affronte la force de la mort, la vautour est un symbole de l’esprit, de l’éternité. Notre art populaire abonde en motifs avimorphe sur les objets en bois sculptés, sur la céramique, sur les tissus, sur les tapis, sur le costume populaire, sur les broderies. Parmi les motifs d’oiseau les plus connues, à côté du coq „le réveille matin du paysan”, mentionnons des colombes, des moineaux, des coucous, des paon. La paysan appelle l’alouett l’oiseau de l’agriculteur, la coucou est l’annonciateur du printemps, dit Tache Papahagi. Dans une note due à Ernest Bernea, dans son volume „Cadre ale gândirii populare româneşti” (Cadres de la réflexion populaire roumaine) l’auteur cite une information de 1887, dans la „Revue des Forêts” dans laquelle on nous présente le soi-disant „horloge de la forêt”, c’est-à dire la connaissance de l’heure selon la chant des oiseaux.Le folklore ornithologique enrichit notre trésor culturel national avec des significations intéressantes que l’on peut retrouver aussi dans le folklore d’autre pleuples.
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L‘étude ci-présent fait partie d’un travail très ample sur la Terminologie pastorale et s’occupe, du point de vue linguistique, d’un des termes les plus importants du voccabulaire des bérgères: stână.L’auteur commence par un exposé cronologique des explications étimologiques pour ce mot, à la fin duquel on conclut que parmi les differentes origines proposées par les chercheurs – autochtone, slave, latine, iranniene –, on ne retrouve aucune opinion soutenant l’origine roumaine.Ensuite, il nous parle de la propagation du mot et de ses dérivés dans les dialectes roumains, de leur sens different et des toponymes liés à ce terme.Enfin, à titre d’hypothèse, s’avance une possible étimologie roumaine, argumentée du point de vue phonétique et comparatif, selon laquelle stână pourrait venir du mot coastă (pente, versant), plus précisement, du dérivé costână (le lieu préponderent pour installer la bergerie).La conclusion est que, à ce qui concerne le problème de l’origine de ce terme, aucune solution ne peut passer pour définitive, mais la théorie de l’origine autochtone ou celle de l’origine roumaine paraissent les plus pertinentes.Dans un dernier chapitre, l’auteur s’occupe des synonimes du mot stână dans la langue roumaine – târlă, căşare, odaie, băcie, mandră, stăuină-et de leur dérivés.L‘étude ci-présent fait partie d’un travail très ample sur la Terminologie pastorale et s’occupe, du point de vue linguistique, d’un des termes les plus importants du voccabulaire des bérgères: stână.L’auteur commence par un exposé cronologique des explications étimologiques pour ce mot, à la fin duquel on conclut que parmi les differentes origines proposées par les chercheurs – autochtone, slave, latine, iranniene –, on ne retrouve aucune opinion soutenant l’origine roumaine.Ensuite, il nous parle de la propagation du mot et de ses dérivés dans les dialectes roumains, de leur sens different et des toponymes liés à ce terme.Enfin, à titre d’hypothèse, s’avance une possible étimologie roumaine, argumentée du point de vue phonétique et comparatif, selon laquelle stână pourrait venir du mot coastă (pente, versant), plus précisement, du dérivé costână (le lieu préponderent pour installer la bergerie).La conclusion est que, à ce qui concerne le problème de l’origine de ce terme, aucune solution ne peut passer pour définitive, mais la théorie de l’origine autochtone ou celle de l’origine roumaine paraissent les plus pertinentes.Dans un dernier chapitre, l’auteur s’occupe des synonimes du mot stână dans la langue roumaine – târlă, căşare, odaie, băcie, mandră, stăuină-et de leur dérivés.
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In the specialized literature, the village of Curteni, within the area of Huşi, county of Vaslui, is presented as a producer of black and red ceramic ware, the red pottery being also enemeled, starting from the 19th century. Morphologically, the ceramics produced down there can be included in the bigger category of utilitarian pottery necessary for preparing and keeping food items. Given its age, this type of ceramic ware is righteously considered as the oldest one still in use nowadays. Most of the pottery production centres in Moldavia took over the shapes, decoration and typology of pots specific to the La Tène period in Dacia. Playing an important role in the economy of the area – as a matter of fact pottery has been a very renowned craft within the Central Moldavian Plateau – the production of ceramic ware in Curteni is the work of talented craftsmen and Vasile Ochiană is one of the best. The pots he created have been appreciated by the inhabitants of the area with the occasion of local fairs and markets, but also during specialized events of greater amplitude, such as the Pottery Contest of 1908 in Bucharest. Typologically, out of the black ceramic ware produced by the above craftman, mention should be made of the huge pots, of ovoid shapes, dishes, milk pots, pitchers of various shapes and dimensions, the străchinile, oalele de lapte, ulcioarele de forme şi mărimi diferite, pouring cups, all of them being part of a very wide series of objects. The presentation of some aspects of folk life and culture specific to the village of Curteni, strictly related to the production of ceramic ware, offers a larger picture as for the role of various crafts within the life of the rural community.
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In the first part, the paper presents the way the section “Peasant Traditional Installations” was structured within the Ethnographic Museum of Moldavia in Iasi, taking also into account items in the same category which are presented in other sectors of the exhibit. Yet the paper focuses on those items exhibited at the first floor of the Palace of Culture, with a special remark of the beam press of Rugionoasa – Iasi, the devices for thickening cloths of of Oantu-Neamt and Dolhasca-Suceava, all of which have a great emotional impact on the visitors.In the second part of the paper, the author evokes suggestions of the visitors for the improvement and modernization of the sector “Installations” and of the permanent exhibit in general. There are presented opinions of renowned personalities of the Romanian museography, which mainly fall into two main groups (the conservative and the modernists) when it comes to establishing the limits up to which a museum institution can be reformed, and therefore pointing out the main arguments of the two “parties”. In the end, several practical solutions are proposed, most of them representing the vistors' input for refreshing the main exhibit so to create a much more dynamic museum in line with the latest evolutions of the worldwide museography, yet respecting the own requirements of the Romanian museographic system, hoping that those in charge of the direction of the museum network as well as those working within the network love at least a little bit their work and understand carrying it out with dedication.
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Cet étude traite de la tipologie d’une cathégorie des abris temporaires qui se trovent dans Le Plateau Central Moldave, plus exactement, de ceux construits et élevés par les maraîchers, les viticulteurs et les éleveurs de grands bétails.Les abris sont présentés groupés, en fonction de l’occupation principale du constructeur, et puis sont analysés suivant les variations des matériaux de construction, de la téchnique utilisée – de la plus rudimentaire jusqu’à la plus complexe –, des leur dimensions, aussi que de leur évolution temporrelle et dans l’espace géographique de référence.
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Among various expenses lists from the collection of documents belonging to the National Archive in Iaşi, there is an old manuscript referring to the burial of Catrina, the wife of the purveyor Ştefan Caracaş, dated the 18th of December 1830. The old manuscript includes burial and 3, 9 and 40 days celebrations expenses. After these, the temporal cycle is completed, and the soul of the dead may leave this world and aim for the other world.Catinca Negruţi, a student at the former high school „Academia Mihaileană” in Iaşi, was part of the noble family of Negruţi, which included, among others, the writer Costache Negruzzi (1809-1868) and the member of „Junimea” Society, Iacob Negruzzi. The funeral old manuscripts from the burial of Catinca Negruţi date between the 7th of February and 19th of March 1838, corresponding to the 3, 9 and 40 days celebration. At the same time, there have been preserved the expenses lists of her father, the sword bearer Enache Negruţi, dead in 1836. His 1 year celebration took place at the 3rd of July 1837.These documents represent o precious documentary source for the history of mentalities and for ethnology, revealing reminiscences of old traditions within the modern Romanian society. Whatsoever, these documents have been ignored, due to the fact that they have been considered irrelevant, but also to the lack of work instruments, such as knowledge of Cyrillic palaeography or the prejudice that such information cannot be found in archives. Our stand is that, though in limited number, this type of documents exists.
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The paper points out the discovery of the ethnographic archive of the villages which once existed on the spot which is nowadays occupied by the Lake of BicazAs a result of long years of field research which involved famous names of the Romanian ethnography, only two volumes have been edited about the project, and they do not take into account important fields of traditional civilization.The described documentary corpus includes interesting materials about the rural civilization lost under waters, as well as a rich correspondence as for the preparation of the research and the political and ideological tension directed on the specialists in charge of the preparation of the texts meant for publication.
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Le théme rencontré sporadiquement dans la recherche de spécialité aborde "le lait maternel" et l'acte de la nourriture de l'enfant de la perspective de l'univers sacré.Le premier allaitement de la mère naturelle équivaut l'etablissement en plan magique de la relation mère-enfant par laquelle ce dernier pouvoirs phisiques et moraux: il devient puissant, il suce la fortune, le caractère, les habitudes et même la religion de la mère, et il a des fonction protectrices. Le premier allaitment à un sein étranger mène à la perte du lait de la mère naturelle et influence de manière négative la conduite prochaine de l'enfant.La double relation mère-foetus, solide même avant l'être, était consolidée par la coutume pratiquée à l'occasion du sevrage lorsqu'en base des qualités surnaturelles du lait maternel, on nourrissait l'enfant d'une p=te pétrie de ce lait, la finalité de la coutume étant semblable à la raison de l'eucharistique chrétienne.Le lait maternel sucé ou ingéré par les étrangers leur confére le statut de "frères de sang", "de croix" ou "de lait".L'intervalle de l'allaitement est apprécié en unités temporelles reprises du calendrier chrétien mais en fonction de l'état de la mère et de l'enfant, le prolongement inutile étant considéré comme défavorable à l'enfant. Les exceptions des contes de fée à héros doués de pouvoirs extraordinaires sont basées toujours sur la croyance que le lait maternel animalier, les enfants (abandonnés, orphelins) des mythes et des contes de fés européens deviennent extraordinaires.Considéré comme panacée, le lait maternel (humain, animalier et même celui des oiseaux), nommé aussi "lait médical" est utilisé de facto pour le traitement de certains états pathologiques ou pour la réalisation de certaines.
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Pour l'interprétation de certaines coutumes matrimoniales comme les foires "à filles" et "à baisers", l'étude analyse les résultats de différents sections et niveaux d'investigation de domaines complémentaires. Tout en considérant les "foires" mentionnées comme des reliques du mental social, l'analyse a pour point de départ les formes primordiales des relations humaines pour qu'on constate, aprés avoir utilisé les informations anciennes sur le mariage par achat pratiqué chez les Thraces, Prussiens, Ecossais, Bosniaques, Hongrois et Russes ou/ et chez d'autres peuples indo-européens, l'existence d'une étape plus ancienne encore, "l'enlévement de la mariée". Des reliques de "l'enlévement" sont à retrouver dans la poésie du mariage - la mariée est tour à tour biche, fauve, génisse, fée ou colombe blanche, fleur portant des fruits. Des sourvivances "déguisées" du mariage par achat, pratiqué de facto jusqu'à la fin du XIX-e siécle, persistent encore de nos jours: le sac à apporter, les dons, les cadeaux, le marchandage ou le "projet" et meme l'utilisation sporadique du mot "courtier" ou "intermédiaire" pour désigner la personne qui demande en mariage. En fait, la foire de la montagne Gaina (tout comme celles de Calineasa, Lespezi, Biharea) est, d'aprés l'argumentation de l'auteur, une réminiscence archaique, un endroit à significations cultuelles afin de trouver des compagnons de sauterie. "La foire à baisers" (il s'agit de celle de Halmagiu) est analysée de la perspective de certaines mentions bibliographiques évaluées à nouveau (Coresi, Hérodote), des informations de terrain et aussi des interprétations antérieures, étant soutenue dans cadre ethnographique de la pratique: le mariage, la foire, le contact phisique intime consommé en public, la paye du baiser, la présence de la belle-mére, du marié qui ménent vers l'interprétation en tant que possibles réminiscences du rituel de type "prostitution sacrée".
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L'étude constitue une recherche rétrospective de l'ouvre de S. Fl. Marian de la perspective des 90 années passées depuis sa mort.Au début, on met en évidence les étapes parcourues par le folkloriste, sa longue et fructueuse activité de collectionneur et chercheur de la culture populaire roumaine, en insistant sur la dernière étape, après son entrée à l'Académie Roumaine (1882-1907), lorsque, doué d'un plan de travail bien contouré, une méthode de recherche adéquate au domaine étudié et l'appui de ce haut for scientifique, il a mis en pratique son vaste projet de valorisation de la culture populaire roumaine.Ses collections de folklore parues pendant la dernière étape sont axées sur différents genres folkloriques: incantations, traditions historiques, satires, contes et comprennent un riche matérial culturel collectionné surtout en Bucovine. Au contraire, les synthèses se rapportent à tout le territoire roumain et mettent en valeur d'une manière scientifique les plus importants aspects de la culture populaire, comme les titres-mêmes l'indiquent: Cromatica poporului român, (Chromatique du peuple roumain), Bucure[ti, 1882, Ornitologia poporan\ român\, (Ornithologie populaire roumaine), tomes I, II, Cern\u]i, 1883, Insectele în limba, credin]ele [i obiceiurile românilor, (Les Insectes dans la langue, les croyances et les coutumes des Roumains), Bucure[ti, 1903, Nunta la români, (La Noce chez les Roumains), Bucure[ti, 1890, Înmormântarea la români, (L'Enterrement chez les Roumains), Bucure[ti, 1892, S\rb\torile la români, (Les Fêtes chez les Roumains), tomes I, II, III, Bucure[ti, 1898, 1899, 1901.Le folkloriste a trouvé pour chacune de ces synthèses la structure la plus adéquate, issue des coutumes folkloriques respectives, et qui lui a permis de systématiser tout le matérial folklorique, tout en conservant la vision populaire.Pour les chercheurs actuels de la culture populaire roumaine, les synthèses de S. Fl. Marian restent comme de sérieux livres de référence et de solides aides dans l'approche du même sujet de notre culture populaire roumaine.Par ses ouvres, S. Fl. Marian continue à apporter d'importants services à l'ethnologie roumaine.
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Musée du village du Bucarest este situé dans le cadre pitoresque du Parc Herăstrău, au coeur de la capitale de la Roumanie. Sur une superficie de 15 hectares, ce musée a èté réalisé en 1936 à la suite de recherches sociologiques conduites par le professeur Dimitrie Gusti (1880-1955). Les documents qui se trouvent dans les Archive Generale du Bucarest presentent l’histoire du cet musée.
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La folkloristique traditionnelle traite la légende de maniére classique, c'est-à-dire selon l'esprit de séparation des genres et des espéces. De la sorete, la base culturelle qui constituait l'ensemble naturel des formes sensibles était négligée et les catégories de l'art ne trouvaient pas leur place dans la topographie de la tradition: le conte de fée - séparé du mythe et de la légende, l'anecdote - une forme humoristique et rien de plus, la lyrique - une invention libre, intimiste, le noël - une modalité de propagande religieuse.Ce travail plaide pour l'unité de vision et de "conscience mythique" de toutes les catégories de la culture et de l'art traditionnel, surtout celle du mythe et de la legende. La base de cette unité est constituée par l'universalité des archétypes, expression de l'inconscient collectif. C'est ainsi qu'on explique la circulation libre des mêmes motifs ou mytholegéndes, aussi bien dans le mythe que dans la légende, parfois dans la lyriqe ou dans l'incantation. C'est la conduite héroïque compte toujours, d'Heraclé jusqu'à Thesée, de Charles le Grand jusqu'à Etienne le Grand. Les formes poétiques, c'est-à-dire celles qui différencient une espéce d'une autre, sont variables, mais les archétypes restent toujours les mêmes.
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Par cette communication nous faisons par les moyens de la methode interdisciplinaire de la reconstruction du typ de la maison qui abrite les reunions des jeuns-garcons reunits en confrérie, dans l'espace de la Bassarabie.L'anquette élaborée pour l'élucidation du phenomen est apliquée dans l'espace d'interfleuve Pruto-Nistrean, la Transnistrie, le sud de la Bassarabie et le nord de Bucovine, a démontré la conservation des plusieurs réminiscences de cette construction "hurdughia" dans un territoire concret de Bassarabie.Le mot proprement dit désigne parmi ses significations: une grand construction unicelulaire, située loin de tout habitation, qui abritait pour les rencontres, les jeuns-garcons néophites, pour des périodes marqués de l'année.
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The goal of this paper is to examine affective responses to institutionalised narratives on the genesis, course and consequences of the 1990s conflict in Croatia, which coexist with subjugated knowledge, usually taking the form of conspiracy theories. The paper is based on recent fieldwork research. The author examines the ways of forming different personal narratives dominated by the motifs of home, displacement, (not) belonging, and narratives close to conspiracy theories which are incorporated into personal accounts. The author sees conspiracy theories as an attempt to understand the gravity and ambivalence of every (post) war experience, as a possible loosening of the knot that emerged at the intersection between the personal and the collective, the cognitive and the emotional, ethnic identity (be it majority or minority) and citizenship, the desirable and the undesirable, home and leaving home.
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Balázs Lajos: Nyergestető. A lelkiismeret ágkeresztes-kopjafás temetője. A nemzeti kegyelet néprajzi földrajza. Gutenberg Kiadó, Csíkszereda, 2018.
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