Razmišljanja ob Apihovi knjigi o Julijski krajini v dobi fašizma in antifašizma
The review of: Elio Apih, Italia Fascismo e Antifascismo nella Venezia Giulia, 1918—1943. Laterza—Bari 1966, strani 480
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The review of: -Josip Cazi, Nezavisni sindikati 1921—29. Knjiga prva. Republičko vijeće SSJ za Hrvatsku, Zagreb 1962, strani 459 + (II) + 15 str. sl. -Josip Cazi, Nezavisni sindikati (1921—1929). Knjiga druga. Institut za historiju radničkog pokreta, Zagreb 1964, strani 531 + (II).
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The review of: -Otto Leichter, Österreichs freie Gewerkschaften im Untergrund. Europa Verlag, Wien 1963, 155 strani. -Herbert Steiner, Die Kommunistische Partei Österreichs von 1918—1933. Bibliographishe Bemerkungen. Wien-Meisenheim am Glan 1968, 95 strani. Zbirka: Marburger Abhandlugen zur Politischen Wissenschaft, Band 1.
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Le nom de l’organisation clandestine »Révolutionnaires Slovènes nationaux« apparaît dans les documents des archives du Komintern dès 1932, et le programme de cette organisation fut établi en Yougoslavie l’année suivante. Elle devait agir sur une ligne autonome mais cependant parallèle à celle du Parti communiste de Yougoslavie. Lorsque le Comité régional du Parti communiste de Yougoslavie reconnut que l’activité de cette organisation n'est pas positive puisqu’elle ne repose nullement sur les aspirations des masses ouvrières et paysannes, il ne manifesta pour elle aucun enthousiasme et l’abandonna. Il ne faut pas confondre cette organisation autonome clandestine avec le mouvement TIGR (Trieste—Istrie—Gorica—Rijeka) qui prit naissance en 1928 dans le Littoral Slovène et l’Istrie, alors régions italiennes et qui, en 1936, prit le nom de Movimento revoluzionario nazionale sloveno-croato (Mouvement révolutionaire national slovéno-croate). C’était là une organisation autonome qui n’avait aucun rapport avec la première.
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Jusqu’ à l’automne 1919, il y avait dans la Marche Julienne deux partis socialistes en activité: le parti socialiste italien et le parti socialiste Slovène. Sur l’initiative de ses dirigeants réformistes nationalistes, le parti italien se rattacha bientôt après la fin de la guerre au parti socialiste d’Italie. C’ était un trait dirigé contre les aspirations des Slovènes et des Croates qui avaient espéré le rattachement de Trieste à la Yougoslavie et surtout contre l’opposition de gauche au sein du parti socialiste qui opinait pour une solution révolutionnaire de la question nationale et l’indépendance du territoire de Trieste. Mais en combattant les dirigeants réformistes de Valentino Pittoni et le groupe nationaliste d’Edmondo Puecher, le courant révolutionnaire s’affirma de plus en plus; il bénéficia du rattachement au parti socialiste d’Italie dans lequel avançaient irrésistiblement les aspirations maximalistes. Dès novembre 1918, ce courant posait la thèse de l’autodétermination des peuples, et au Congrès Provincial de janvier 1919, celle d’une action unie du prolétariat, destinée à détruire l’ordre social capitaliste. En avril 1919, les socialistes triestins soutinrent la décision du parti socialiste italien de se rallier à l’internationale communiste et se prononcèrent pour la dictature du prolétariat; de ce fait ils rompaient définitivement avec leurs dirigeants sociaux-démocrates.
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Dans cette contribution, on a brièvement esquissé certaines questione et certains problèmes qui ont trait aux recherches sur le point de vue du Parti communiste Yougoslave sur la question nationale dans le Royaume de Yougoslavie, entre le Congrès de l' unification 1919 et le Plenum de Lipanj du Comité central du Parti communiste yougoslave, 1935. L’auteur constate que, au cours de cette période, le Parti communiste yougoslave a traversé deux phases dans l’évolution de son programme marxiste national. La première phase embrasse la période qui va de la formation du Parti communiste yougoslave en avril 1919, à peu près jusqu’à la deuxième conférence générale en mai 1923. Durant cette période, le Parti communiste yougoslave ne reconnaissait pas l’existence de la question nationale en Yougoslavie et adoptait la théorie d’un peuple yougoslave unique sous trois dénominations. Le Parti communiste yougoslave considérait alors la question nationale en Yougoslavie comme réglée, tant en théorie que sous l’angle pratique politique.
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Dans les années 30, la question nationale Slovène se présenta avec plus d’acuité à cause de l’oppression toujours plus grande qui pesait sur les Slovènes dans les trois pays entre lesquels ils étaient répartis. Pendant la période de l' agressivité fasciste et des exactions impérialistes, seule la classe ouvrière, en d’autres termes le parti communiste, pouvait poser la question nationale Slovène d’une manière conséquente et révolutionnaire. C’est pourquoi les trois partis communistes que cette question concernait durent la considérer comme un problème de lutte révolutionnaire et élaborer là dessus un programme et des points de vue communs. Ce fut là un processus long et compliqué, au cours duquel les partis échangèrent leurs idées et clarifièrent leurs points de vue. Dans la première période, la lutte pour l’autodétermination des Slovènes et leur droit de détachement était liée à l’obligation de saper les Etats bourgeois et d’unir les Slovènes dans le cadre de républiques, balkaniques ouvrières-paysannes. Plus tard, le Parti communiste de Yougoslavie déclara qu’ il fallait avant tout défendre la Yougoslavie contre le fascisme et lutter pour en faire un Etat démocratique capable d’englober aussi les Slovènes de la Marche Julienne et de Carinthie.
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En 1917, plusieurs dizaines de milliers de Slovènes, mobilisés dans l’armée austro-hongroise pendant la première guerre mondiale et faits prisonniers de guerre sur le front russe, se trouvèrent en Russie. Les événements révolutionnaires dont ils furent témoins eurent sur eux une influence considérable. La répercussion de la révolution de février se manifesta le plus ouvertement dans le Corps de volontaires serbes en Ukraine méridionale. En 1916, les volontaires Slovènes, Croates et Serbes, prisonniers de guerre en Russie, avaient rallié ce Corps pour continuer les armes à la main, à combattre l’Autriche-Hongrie et pour créer la Yougoslavie. En 1916, ils participèrent aux combats du front de la Dobroudja. Mais, comme le commandement du Corps soutenait une politique d'hégémonie serbe, la moitié des hommes et la majorité des officiers Slovènes et croates passèrent à la dissidence. Ce mouvement, auquel se joignit la désertion, paralysa le Corps qui, après les journées d’octobre, ne put être une force réactionnaire contre les Soviets, comme le furent par exemple les légions tchèques.
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L’auteur expose le cours de la compilation de la bibliographie des années de »Ljudska Pravica«, organe du Parti communiste de Slovénie avant la guerre, c’est-à-dire de 1933 à 1936 et de 1939 jusqu’à l’occupation de 1941.
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U svom izlaganja ograničiti ću se više na iznošenje samo nekih opservacija i nekih zaključaka do kojih sam došao u dosadašnjem izučavanju ove iznad svega složene problematike. Polazim od toga da je ovo gotovo neizučena problematika u našoj istoriografiji, pri čemu je prisutno i mnogo površnih, pa i netačnih predstava i predrasuda. Postoje tako pogledi da se Narodni front u nas svodio na sektor borbe, koji se razvijao samo u odredjenim periodima kao: počeci borbe za protivfašističku frontu skraja 1934. i početkom 1935. godine, zatim Front narodne slobode koji je blesnuo 1935. godine, te pokušaj stvaranja Jedinstvene radničke partije iste godine i, najzad, od 1937—1938 kroz pojavu Stranke radnog naroda, koju je potom KP raspustila. Istina, pri svemu ovome se ističu i izvesne specifičnosti naročito u pojedinim zemljama i krajevima. U svakom slučaju, u ovoj predstavi o Narodnom frontu, pored ostalog, ne prizna se kontinuitet. [...]
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Nastajanje akcijske enotnosti slovenskega delavstva bom obravnaval samo s sindikalnega stališča in to do ustanovitve Osrednjega strokovnega odbora za Slovenijo sredi aprila 1939. Njen nadaljnji razvoj in delovanje Delavske enotnosti v Osvobodilni fronti obravnava drug koreferat. Pri obravnavanju nastajanja akcijske enotnosti slovenskega delavstva moramo zasledovati razvoj, ki je privedel do enotnega sodelovanja vseh važnejših delavskih strokovnih organizacij pomladi 1939, do akcijskega sporazuma in vidnega izraza tega ob podpisovalni akciji za ustanovitev Društva prijateljev Sovjetske zveze in do enotnega delovanja v Osvobodilni fronti. Akcijska enotnost slovenskega delavstva je nastajala v daljšem procesu in to v oblikah borbene taktike enotne fronte. [...]
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Na Slovenskem ni bilo takoj objektivnih možnosti, da bi bila ljudska fronta nastala v klasičnem smislu kot dogovor med vodstvi meščanskih in delavskih strank za skupen nastop proti fašizmu, za demokracijo. Zato se je spočetka uveljavljala bolj kot množično gibanje v različnih oblikah in z različnimi imeni: Slovensko ljudsko gibanje, Slovenska ljudska fronta, Kmečko delavsko gibanje. V političnem življenju je to gibanje lahko učinkovalo toliko, kolikor je zaživelo v množicah delavcev in delovnih ljudi ter se zakoreninilo v slovenskem narodu. Zato so tudi za oblikovanje slovenske ljudske fronte v vrhu, v sporazumih med različnimi meščanskimi opozidonalnimi skupinami in gibanji ter delavskimi organizacijami za skupen nastop za slovenske demokratične zahteve, prišle v poštev predvsem tiste grupacije, ki so izražale pozitivna hotenja različnih plasti slovenskega ljudstva. [...]
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Slovenska književnost je v vseh svojih obdobjih — razen v času rekatolizadje in katoliškega baroka — izražala napredne družbene težnje. Ponovno je spodbujala k boju za pravičnejšo veljavo ljudstva. Njeni najpogumnejši predstavniki, so se znova in znova spopadali z nazadnjaštvom in omahljivci v boju. — Še posebej velja to za Ivana Cankarja in za obdobje med obema vojnama, ko so prav književne revije bile žarišče razprav o položaju in pobud o zahtevah slovenskega naroda. [...]
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Sur la base du traité de Rapallo, signé en 1920 entre l’Italie et le Royaume des Serbes, Croates et Slovènes, l’Italie annexa le territoire de la Marche Julienne (Venezia Giulia) sur lequel, d’après le recensement de 1910, il y avait 466.730 habitants d’appartenance Slovène ou croate, soit les 50,2 % de la population. Aux deuxièmes élections parlementaires du 15 mai 1921, la nouvelle .province de la Marche Julienne envoya aussi ses représentants à la Chambre des Députés italienne. Après la Première guerre mondiale, l’Italie était régie par la loi électorale du suffrage universel masculin et du système proportionnel. Après l’annexion de la. Marche Julienne, cette loi fut complétée par des clauses relatives à l’acquisition de la nationalité italienne. Les habitants des régions nouvellement rattachées pouvaient acquérir la nationalité italienne automatiquement par option ou par une demande particulière adressée aux autorités de la province. C’est là-dessus que commença, au début de 1921, la campagne électorale qui alla en s’intensifiant jusqu’au jour des élections. Les passions nationalistes qui avaient régné sur ce territoire durant les dernières décades qui précédèrent la Première Guerre mondiale se rallumèrent. D’un côté, le camp libéralo-nationaliste italien qui se présenta aux élections comme bloc nationaliste italien, de l’autre le groupe slovéno-croate uni au Parti national yougoslave (JNS). Il y avait encore le groupe ouvrier, relativement fort, mais qui, à quelques mois des élections se scinda déjà en socialistes et en communistes. Le parti républicain italien et le parti populaire italien étaient moins importants; dans la Marche Julienne, ils se présentèrent chacun à part, bien que n’ayant guère de chances de succès.
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Kronološki pregled vsebuje dogodke iz delavskega gibanja na slovenskem ozemlju v Jugoslaviji in v Julijski krajini pod Italijo. Ker se je gibanje v Sloveniji in v Julijski krajini razvijalo ločeno in v različnih okoliščinah, odvisno od splošnega razvoja obeh držav, smo dogodke za vsako leto od leta 1919 zaradi boljše preglednosti razdelili v dve skupini: pod A so dogodki na slovenskem ozemlju v Jugoslaviji, pod B pa v Julijski krajini. Težišče kronološkega pregleda je na dogodkih iz delavskega gibanja marksistične smeri, ker je IZDG doslej raziskoval predvsem to tematiko. Upoštevali smo predvsem delovanje Komunistične stranke Jugoslavije in Komunistične stranke Italije in njunih organizacij ter organizacij socialnih demokratov in socialistov. Razen tega smo zabeležili tiste dogodke iz progresivnega demokratičnega meščanskega gibanja, ki so bili povezani z delavskim gibanjem, okvirne dogodke iz jugoslovanskega in italijanskega delavskega gibanja ter splošne politične dogodke na Slovenskem, v Jugoslaviji, Italiji in v svetu, ki so vplivali na delavsko gibanje pri nas. [...]
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The review of: -Hebert Steiner, »Die KPÖ und der Februar 1934«; Weg und Ziel, 1964, št. 2, str. 68—79. -Hermann Mitteracker, »Kampf und Opfer für Österreich«, Stern Verlag, Wien 1963.
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The review of: Conrad F. Latour, »Südtirol und die Achse Berlin—Rom 1938 bis 1945«, Stuttgart 1963, 158 str.
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The review of: »Prekmurski Slovenci v zgodovini«, s podnaslovom »Zbornik razprav o posebnih potezah zgodovinskegarazvoja Prekmurja«. Uredil dr. Bogo Grafenauer.
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The review of: Elio Apih, Dal regime alia resistenza. Venezia Giulia 1922—43. Del Bianco, Udine 1960. Str. 166.+.11. .
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Nad dvajset let je bila Komunistična partija Jugoslavije v ilegali, kar je zahtevalo posebne pogoje njene dejavnosti in organizacije, njenega podtalnega življenja. H konspirativnim področjem so spadali ilegalni prehodi in kanali čez mejo. Te kanale so koristile partijske organizacije in komiteji, ko so pošiljali svoje člane in funkcionarje v tujino ali pa jih srečavali pri vrnitvi; po takih kanalih je prihajala komunistična literatura, pošta itd. Prehodov je bilo mnogo. Največ jih je bilo v Sloveniji. O enem takšnem priobčujemo spomine Maksa Geršaka iz Črne v Mežiški dolini. [...]
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