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.1he present paper analyses .the essential documents which preceeded and prepared tbe t;reat Union of 1918 as weB as the acts which show the Union of Bassarabia, Bukowina., aud Transylvania with ROplania from the perspective of the aspiration of the Romanian people towards a parliamentary regime, c<Qlstitutional and democratic. The conclusion ia t·hat in 1918 the RomaniţU1s were animated by democratic ideals which they expre&sed in their decisions of Union from Chişinău (March 1918), Cernăuţi (November 1918) and Alba Iulia (1 December 1918). Tbe most representative spokesmen of the Romanian people, lui':. ltlaniu. Vasile Goldiş. Ioan Nistor, G. Grigorovici, P. Halipa etc., gave expression to the&e democratic aspirations pf -the people from Transylvania, Bukowina and Bassarabia, aiming at.a deep reformation of the Romanian society in the spirit of an advanced social democracy. The social and political democracy advocaled by the authors of the Great Union of 1918' tras eonsidered a guarantee of the solidity and durability of the Romanian national state. .+- permanent concern of those who made the Great Union was to fully guarantee both iberty aud equality in rights and obligations of the national minorities. Thus, from an option aud a component of the Great Union, the democratic state became a reality in Romania between the two World Wars as a result of the application of the 1923 Constitution, of the agrarian and electoral reforms aud of other laws with democratic and liberal ch~acter. The democratic spirit of the Constitution of the Unification, the political mllltipartitifm and the liberty of the expression, meeting and association established a constitutional, deeply democratic regime in Romania between 1918-1938, which contrasted with the totalitar regimes set up in other European countries in the period between the two World Wars. With a11 its limits and imperfections, the democlatic regime frcm Romania betwun the two World Wars was a reflection of the Great Union from 1918 and a guarantee of its duration.
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Die archiiologi,.;r1Jen GralJungell in elen 11onat(,11 April-- :Mai 1992 in rlt'r rmgebung c1('s ,Apm'-Palastes in KarlsLurg '\l1~'d('n "om Institut hlr Archiiologie nnd Eunstgpschkhtv aus KI<lliSL11]mrg unJ \'tIm ~1U"LU1l1 (,( r Vcrdllil~l1ng au,; Ka~bl!Urg veranstaitet. Xacll einigen Jahren der TTnterbreclnmg 'l., 1\( 11 ,;iL eilH' \\'ieduaufnahml' cler Furschungen in dt:m Ca,;trum der Legion xrn r.unÎl!a '\tdl :\pulum dar. lJie .\:<l,d!~eite des Gebiiudes aus der Feudalzeit stiitzi- sich auf cine li1n,,!:l':l' "':,trecke hin auf clie )\(JHb( ite des Castrums. Im Kontrol1graben ].;:('1111tcn ",-wei Reil:t li \'( ,lt SteinhlOcken in opus <]1' adratll111 festgestellt werden, o1ie der in situ erhaltenen riinti,;,,11ell :'lauer angeh(irel1. Uie reststel:ung eliesser Mauer Le,;tiitigt clie ăltpf(-n Forschungcn ,tllS dr m J ahre i 987 - '\ ('n V, ~[oga - auf dcrselben Seite, als siehup Ell lllentt: festgtstf'111 wurciln: Dermtn und (hr Grab'll des wichtigsten Castrums <1e1' Pruvinz Dacia. Fine weitlll' Crabullg. clic: ebenfall,; im Jahre 1992 sl'nk.recht zur Sudwand des Apor-Palastc!:> durch~ull11rt. \\'urde, ,;ticss 11a,,11 der Entfl'lnung der mittelalterlichen Schicht.en bi~; n:m rlimisclH'll :-';j\,c au "or 111ld legte -, als archiiologifche Premierc -- clic via sa~ularis frei, ua:w eilll:ll AhfiU',' "anal, der am Grullde mit Zicgt:ln ausgelegt. \Var, die dell Stl'1npel der Legion XIII GemiJia auh\'ciscn. Das geborgene archăologischeMaterial besteht aus Bruchstiicken von Keramik, Bronzege. genstii.nden sowie aus drei Mtl.nzen, die aus dem 2. und 3. Jahrhundert stammen. Die Entdeckungen von 1992 fiigen den bisherigen Forschungen neue unbekannte Ergebnisse hinzu und stellen einen Fortschritt bei der Erforschung der ersten Befestigung von Karksburg dar.
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Consideree tres interessante de point de vue architecture, meme avant notre etude, l'eglise "L'Assoupissement de la Sainte Vierge" de Zlatna, offre encore de nouvelles informations sur les etapes de construetion, sa typologie et finalemeut, son anciennete. Les atributions faites jusqu'a present, selon les observations de surface (plan-elevation), placaient l'edifice en question parmi les nombreuses eglises-salle, baties en Transylvanie au XVes., dans l'esprit de l'architeeture orthodoxe, traditionnelle. Les fouilles archeologiques ont mis au jour un plan different de celui actuel, le premier edifice bâti ici etant une basilique courte il. trois nefs, un choeur carre, continue il. l'est par une abside centrale et deux absi<1ioles laterales. Suivant ces elements on pourrait placer les debuts de ce monument au XlIIes., deu." siecles avant les datations faites jusqu'a present. Des analogies pour le type de plan du premier edifice propose par nous, peuvent se rencontrer dans les zones de colonisation saxonnes, aux alentours de Sibiu et Sebeş, la presence d'une eglise d'un tel type temoignant de l'existence d'un groupe ethnique allemand, atteste, par ailleurs, au XIV· siecle.
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Jusqu'a la premiere guerre mondiale la Socicte et le Musce ont deploye une activite mcritoire dans le plan de la valorisation des vestiges romains d'Apulum, sans negliger tous les objectifs statues. Passant par des nombreuses diffcultes concernant l'cdifice adequat, il est arrive dans la possesion de l'immeuble du quartier Maieri (aujourd'hui l'Ecole Generale nr. 3, rue de la Republique.). I,e Mu~ee a traveUe la guerre sans pertes. Ă la suite de la decision de l'Inspectorat General des Musees de la Transylvanie, apres l'Union, le Musee d'.Alba Iulia ouvre de nouveau ses portcs le 8 aout 1920, en tant qu'institution de l'Etat roumain.
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Les travallX edilitaires faits au nord-ouest du mUl1lClpe Alba Iulia, dans la rue Vinătarilor (1979-1980), ont occasionnees l'investigation de 186 tombcaux d'inhumation appartenant a un cimetiere fcodal ancien ctendu sur un superficie d'environ 0,5 ha. L'etude anthropologique des ossements a permis l'indification de 58 enfants des deux sexes et de 122 individus adultes, murs, et scniles (64 hommes et 58 femmes). L'inventaire funeraire, compose d'objets de parure et de costume, d'ustensiles, d'armes et de reramique, contenait aussi 24 monnaies qui assurent l'encadrement chronologique du cimetiere pour la secondc moitie du Xle siecle. De ces 24 monnaies ont ete determine seulemcnt 20 pieces, le 4 restes sont attestees par des fragments sans importance. Lf:s monnaies decQuvertes dans 23 tombcaux proviennent des rois arpadiens de la seconde moitie du XI" :;iecl~: Andre 1 (8), Bela I (2), S'alamon (5), Geza I (1) et La,lislas I (4). La position des mannaies par rapport au squelette est differente d'un tombeau a l'autre. Les pieces trouvees autour de la tele de quelques uns des hommes ou de quelques unes des fcmmes de divers âges representent la monnaie deposce dans la bouche du decede. La monnaie provenue des points divers tIu tronc etait mise dans la pa'.lme gauche ou droite des mains etenclucs le lQng du corps ou plics au coude et appuyces par l'avant-bras sur l'abdomen ou le torax. l:etude metalographique fait reference a sept pieces seulement, auxquelh::s on ajoute encore deux emissions provenues de la necropole investiguee (lans la zone "Staţia de salvare" (Station d'ambulance), rr 282 a şi 282 b). Dâpres la technique de l'usinage et la composition de l'alliage an a ideutifie des monnaies frappees (T 1, 101, 114 a, 114 b et 280) et des 111'mnaies coulces (T 12. 220, 235 et 282 a). Indifferemment du point de vue de la technique cmployee pour les confectionner, les pit~ces etudiees sant faites d'un alliage d'argent et de cuivre. Le metal precieux varie dans le melange entre des limites tres larges et ceci demontre le fait que la llotioll de "monuaie d'argent" est conventionnelle. Deposer ta monnaie dans la tombe est une p~atique funeraire antique assumee par la population geto-dacique des greco-romains pendant le processus de romanisation deroule dans l'espace carpato-danubien-pontique. L'etablisement des peuples migrateurs (Slaves, Bulgares) au VIe - VIle siecle au sud du Danub~ a illterrompu les relations economiques de la Dacie postaurelienne avec l'Empire bysantin. :!I,[algre ceci, l'obole est rencontre dans les cimetieres d'incineratioll et d'inhumation de 13, population romane, ainsi que dans les tombes des migrateurs illfluences par les autochtones (Sarmates, Gothes, Gepides et Avares). Lorsque la domiuation de Bysance se retablit aux bords du Danube aux xe-XI- siec1es, la circulation monn'aitaire s'intensifie,surtout pendant la consolidation de l'etat hongrois sous le regne d'Etienne 1 et de ses successeurs
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La presente Hude, ayant ce theme, met en discussion un châpître interessant de l' histoire du livre ancien, celui de la difusion du livre roumain ancien de la Mo!davie en Transylvanie, a travers deux siecles. Nas investigatians ont eu en vue 42 livres roumains anciens provenant de Iaşi, Neamţ, Rădăuţi et Cernăuţi, parus entre 1643-1824. La plupart d'entre eux se conservent dans des collections bien structurees : le dep6t de livre raumain ancien de l'Eveche orthodoxe roumain d'Alba Iulia, des bibliathl ues, des musees, de petites bibliotheques paroissiales - et se remarquet par leur grande variete. Les livres de Iaşi sant les plus nombreux - 36 exemplaires - le plus important etant I'Homelie (Cazania) de 1634 en 20 exemplaires, dans le dep. d'Alba. Du m~me centre proviennent ensuite 11 exemplaires du XVIII (1650-1797) et 5 exemplaires du XIX (1806-1817). Le centre de Neamţ est present avec 4 ouvrages imprimes, parus entre 1812-18:a4, celui de Rădăuţi avec une edition du Breviaire (Ceaslov) de 1745, et celui de Cernăuţi avec une edition de 1817. La diffusion de ces exemplaires dans le dep. d'Alba pourrait ~tre refaite par certaines notes manuscrites. Une categorie est constituee par les exemplaires n'ayant po:int de telles notes, et par consequence, on ne possede aucune information concernant leur itineraire. Une autre categorie est arrivee ici par la Valachie et le Maramureş;la plus importante categorie est constituee par les donations de lhr.e faites Far des prelats de Moldavie ,aux communautes de Transylvanie. Ces rela!i0ns font la preuve d'un echange cu1turel intense entre lea provinces roumains, au Mayen Age et l'epoque moderne. Un dernier aspect mis en valeur par cette Hude se refere au milieu social dans lequel circu1aient, a partir de monde des intdlectuels du village, jusqu'aux bibliophiles passionnes, tels que Nicolae Iorga, Dariu Pop etc.
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1'he autllOf pre:,t'nts the Dacian vestiges in a l11ulti-lllilltnary settltment (with e,'i(~cnct~ irom the Agc of Bronze and from the earIy feudal period), placed in the topugraphical T.(}:nt "Dealul Bunii" (fig. 1), settlement explored summarily by archeological sounc1ing,., c1urir,~ n" years 1~87, 1988. 1'he illvestigations have revealed from the settltment rich ceral11ics of Clmmlu.l !~~c aad fint' ones. Out of these, the author presents some H'(,()llstituted pots ano. in il SI";' ,'ti-:e way, fraguuIlts d pots (fig. 3/1-6), aud also fragl11ents of hand mills (fig. 4/1--101, disccvered in t11e same' settlement. 1'he discovered evidences bel"Ilg to t11e classil'al pha,.,t (f ~~ie Dadan culture (the 1-st Century b.Ch. - the 1-st clHtmy a. eh.), adding a lll-W D:\I ;<J.Il settlement, not kllown befare, ta the archeological co1Jectiun of the zone.
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Sur ta foi d'un repertoire de 16 piE~ces toreutiques figurees (3 exemplaires -,. argent un en bronze dore) , l'auteur etablit l'iconographie, la fonctionalite et le carG<:~e.l des piect's (locales ou importees).
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The p.tp,:- prl'sents a tess fn'qtHllt LT C typl' ' i br"11l.l' EilJlllae lJic>('''\'l n'd "Il tll,' I, :') it() r~' "f t11c ancienl Vada. A majl)r c1Jara,C1t'ric>tic ieatllre oi lhis type is tLl' le;..: "unl'li and fi';"'" 011 tlw bGW and deve1lJped in a rC'dangu]ar, r1lr'mlJil' lJJ' J'''11:111 plate', l:h'url11"c\ \\ ith UlaI!i. ',t! motifs. The author discusses six diseo\'cries (fig, :":1, ;Iccording \', itll tll(' shapl' (,i the plate, they helong to fi"c vaJ'iants (1. l'ilac; ~. Ali)" Iulia, C~'lPll:;;U 'IIa;('; 3. Ostro\l:l ~imian; 4. llerindia; 5. Ocniţa). c\.llalogou,; pit'ct's ",eie i"lllld only in lhe arca "f tlw eLlt..; .";cordisci anti ToltriscÎ (Yugoslavian lJanlllJl.') ,,,here thl'~' lIle llatcd in thc fir,:t ccntury B,\. (set' fu()tnotl·~ J :)- 1(iL The filJ\llal' beloug to two rhrolJological groups: .\, Ili"ces founci in t11e Ceto-J)al'ian settlem<.:nts' Berindia, Ocniţa, Ostro\uI ~imialJ (~l','(>I1d ecntur." B,l first Cl'ntl:r A.D.); B. pieees fuul1l.1 in the late ~it(;~ and tomhs·- .\.llJa Iulia, ('iJac, l';'ipu:;;u l"larp (seeu11l1-thirdiiourth/sixth-seventh ceutur." .\.D.) (fig, :~I, ,\cl'onling ta the <1.uthor, tl1t' glO~ljJ B represents "antiquities" used in thc first mil!EnniulIl .\.1),; similar are ,,1.l1l'J' diseo\'. ril" of the Roman fibula(' (second-third century A. D.) ifl,otnotes 19-22) or Roman Imperial/ Latl' c()in~ (seconcl-fourth c('ntury .\.]).1 Ifootnote;, ~,l) in the sites ancl tOln1)s date,j in f(jurthLight ccutury A.1>.
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A l'epoque de la Gran(le .\sscmblee 1\ationah' du leT 1)cecmbre U1l8, elr. [uiiu lIossu etait un tres jeune evequc. 1\6 !l' :~O Janvier 1885, apres de brillantes Ctudl's au Gymna"l' de Blaj et au College De Propaganda Fide aRome, il fut lllobilise, pl'ndant la premiere guern mondiale comme aumonnier des soldats roumains bles~:es. Le jour de la Grande Vnion il c1emna lecture de la Decission ele l'Assemblee au quelqU('s 100.000 partidpal1ts et il fit partil' de la delegation qui presenta au Roi Ferdinan<l, a Bucarest, le dOCUml:l1t. Dans sa vie il y a tr. lis grandes periodes: 1917- 1840, quand il reorgal1isa, avec tact et clfvouement, h: c1ioci·se de Cluj - Gherla; 1940-1945, il souffrit, a cote de ses fic1eles, la dure occupation hongui-.e, qui, deux fois, essayerent de le tuer; 1948-1970, la perioele pe persecutiol1 et suppressi. ':1 de l'Eglise Roumaine Unie (Greco-C atholique) a 1aquelle il s'opposa et vecut 22 all~ ten detentiol1. Le Pape Paul YI le recompensa pour sa fidelite envers l'Eglise Catholique, par ia promotion au cardinalat in pectate, puLliquemcnt mmollce seulcmcnt apres sa mort i:';;:; Mai 1970).
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L'auteur presente synthetiquement les coordonnees principales du cet important et complexe chapitre de 1histoire de la Dacie et de l'ethnogenese roumaine dans les territoires nord-danubiens, phenomenes deroules pendant les IIe_VIIle siecles. Pour ce 'lui est de la romanisation, dans cette notion on inclue deux aspects fondamentaux du meme processus unitaire, a savoir: la romanisation par la colonisation et l'a8similation des autochtones daco-'getes. Sous les deux: aspects, dans le cas de la Dacie, la romanisation etait une realite. Par les documents existents aujourd'hui, on demontre que, tout comme d'autres provinces plus aneiennes, les facteurs de la romanisation etaient les memes: l'armee, l'administration, l'urbauisation, le commerce, le recrutement local, les mariages mixtes, la religion, les contacts quotidiens dans le processus du travail, les veterans, la circulation des gens et des idees, etc. En plus, les conditions locales et l'epoque plus tardive ont hâte la romanisation en Dacie. Pendant les 170 ans de gouvernement romain effectif en Dacie (106-275), on constate que partout dans les villes et les campagnes, dans le commerce, les transports et ateliers, sur les champs et dans les mines, bien sur dans l'armee, l'administration, a l'office divin, on parlait latin. La romanisation sur le territoire de l'ancienne Province n'a pas cesse avec le retrait de l'armee et de l'administration romaines au sud du Danube sous le regne de l'emp~reur Aurelien, mais a cJntinue et s'est parac:hevee jusqu'au Iva siecle y compris. Le christia'1ism~ en sa forme latine, generalise aUl!: IV"- V" siedes, a contribue ma~sivement a'~ para~heve· ment de la romanisation. an souligne egalement qu'au temp'" de Con'lta'ltin le Gran1, puis sous ]ustinien, le gouvernement romano-byzantin est revenu au sud de la Dacie, alimentant et consolidant, demographiquement aussi, la romauite nord-danubienne. Ea ce qui c.:meerne les regions ha1:>ite'~s par les Dac:es iibres, non rO'll'lJ.ises aux: II"- III" siedes, existent dclU' oplnions diametralement opp')~ees. Certains chercheurs a1:n~ttell: que, jusqu'fl. l'etablidement des Slaves vers la fin du VI" siecles, etait pos'lible uue romanisation cffective du territoire et de la population par une expansion de la romanite de Da~ie et par l'adoption du c1tristianisme en laglle latine. D'autres autellrs sOlItiennent une slavlsation g~nelale, suivie d'une rOltm(J,nisatio"l, tardives des Slaves (X"- Xle sie~les). Il ne s'alirait dane pa'> d'une Roma,nia antiqua, mais d'une Romania nou:J,. Dans ce probleme, l'al~teur a10pte la position suivame: l'expansion de la rom'luite sur les Da~es libres limitophes (1 Vd_ VI" sieeles) a continue par la ph:J,se roamaine. D,)llc, rom:J,)l,isatio'l, tardive, prolous~e ea U:l·~ ro:.'·nl't.is:J,tion precoce. Apres l'effondrement de la d6fense romano-bYlautine sur le Ba'>- Da,lube et la peu :tration des SJ.aves dans la P~:li'1.';'.lI~ bJ.lkrniqlIe, eu raiY)n de la dispr
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Par son adivite complexe, derou1ee en Transylvanie, dont il etait d'origine, puis dans le Royaume de Roumanie, depuis 1912, Sever Bocu a ete l'uu des ceux qui out cousenti de consacrer toute leur intelligence et energie a la liberte et a ia prosperite du peuple roumain. Aspirant a l'ideal de ['ualte nationale de tous les rouma.ns, .auquel toutes les inteligences d'elite de la geaeration de la Grande Union de 1918, s'etaient dediees, il a servi comme volontaire dans l'armee roumalne pendant la guerre, ea 1916 et a mitite, en tant que dirigeant des refugies transylvains et la Bucovine en Roumaaie; .il a eU: aussi l'un des premiers dans la const'itution cu Corps des volontaires de Kiev, forme de prisonniers roumains de l'arm~e d'Autriche-Hongrie, qui avait comme but la liberation de la Transylvanie et de la Bucovine et l'union au Royaume de la Roumanie. Dans les conditions ou la Roumanie, abandonee par ses allies se trouvait seule face aux forces accablantes de l'ennemi et obligee de signer la paix dictatoriale de Buftea- Bucureşti, Sever Bocu est parti en France, accompagne par le poete Octavian Goga, continuant la b.as son activite au sein de Conseil National de l'Unite des Roumains, dans la service de l'unite du peuple roumain. Les effoIts de ce blave patriote se sont concreti:es en France ţar la wuttnallce de la cause roumaine au sein de la Conference de paix de 1919-1920 et par son activite de publiciste, richement devellopee, pour faire connaître aux hommes politiqes du jour et a l'opinion publique occidentale, les droits legitimes des roumains.
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Professor Pranas Dovydaitis (1886-1942), a Lithuanian encyclopedist, is the author of some mathematical articles which were published in the periodicals Cosmos, Logos, Pedagogic Activity, and Friend of Nature. They can be divided into three topical groups: the history and philosophy of mathematics, the popularisation of mathematics, and mathematical didactics. In the articles in the first group, Dovydaitis writes about the mathematical and mathematical-philosophical achievements of R. Bacon, L. da Vinci, I. Kant, P.S. Laplace, C.F. Gauss, and E. Husserl. In the second group belong articles on the theory of numbers; in the third, articles promoting the visual way of teaching. The mathematical works of Dovydaitis significantly enriched the intellectual life of Lithuania in 1920-1940.
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At the conference In Memory of the 50th Anniversary of Pranas Dovydaitis' Death, his daughter Laima Dovydaitytė-Juškevičienė delivered a report based on archive documents reflecting the tragic fate of her father after his arrest in 1941. The documents tell how Dovydaitis was arrested as a distinguished Catholic activist and a bitter enemy of communism, and sent to Sverdlovsk concentration camp. There he was betrayed by his fellow conspirators and sentenced to death for his attempts to organise a revolt. He was executed on 5 April 1942. Copies of the documents are published in the magazine.
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The graphic art of Romas Orantas can be divided into conventional and autonomous book illustrations. The first are direct visual interpretations of the book's text, the second tend to surpass and enrich its content. Works belonging to the latter are the most interesting and promising. In them, the artist applies a peculiar, half-surrealistic language of mythical symbols taken from various cultures. Images from Lithuanian mythology are intertwined with archaic images from the East. The style of his graphic work is concise, metaphorical and poetic. The artist deliberately avoids refinement. Of his last works, the illustrations to the following books could be mentioned: S. Geda's, Socrates Talks with the Wind (2001), M. Martinaitis' K.B. the Suspect (2004), A. Marčėnas' Worlds (2005), K. Navakas' The Chronicles of the Good Life (2005) and A. Marčėnas' The Simple (2006).
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In his academic writings, Pranas Dovydaitis primarily deals with epistemological and historical problems of religion. He refutes Pan-Babylonian theories and underlines the historicity of Jesus' resurrection and legacy. His approach to faith and reason is close to that of the encyclical letter of John Paul II Fides et Ratio. His epistemology develops the themes of St Augustine. Dovydaitis is critical of the anti-metaphysical trends of modern philosophy, and turns his own thoughts towards all-embracing theistic metaphysics of being.
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The article discusses the educational importance of periodicals edited and published by P. Dovydaitis at the beginning of the 20th century and their impact on the education of adults and the development of their consciousness. His gnoseological concept of human knowledge rests on the necessity to integrate scientific and religious cognition. It is contrasted with an analysis of contemporary adult education and the development of consciousness, presented as transformative learning, in which a transformation of the perspective takes place. It can be achieved through the development of the critical consciousness. It is seen as the most important means and goal of contemporary adult education, helping adult learners to transform their way of thinking about themselves and their world.
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The biography and intellectual legacy of Pranas Dovydaitis is of great interest to historians and students of the humanities. His noble personality and versatile activity are studied on the basis of his own writings and archive documents. Until now, his letters to Ona Bačinskaitė-Mačiunskienė, a public figure, remain unpublished. Nevertheless, they contain some unique data concerning Dovydaitis' last years in Lithuania. Therefore, the author of this article hopes that their publication here will be useful for further studies.
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